dimanche 31 janvier 2016

Ca mange quoi en hiver le patromoine immatériel

Loi sur le patrimoine culturel - Le patrimoine immatériel enfin reconnu au Québec


en hiver ca mange du hockey et du football canadien en été

les démarches sont en cours pour reconnaître la pratique du hockey comme un héritage culturel des québécois.  Une fois reconnu le gouvernement pourra continuer à le financer par l'école comme il finance aussi par l'école le football canadien( qui est l'héritage culturel canadien). C'est ainsi que le gouvernement prend l'argent des contribuables pour financer l'identité présumé de la société d'accueil.

C'est une méthode comptable discriminatoire et ne laisse aucune chance aux communautés culturelles de faire progresser leur propre culture, ce qui est autorisé de faire dans la loi du multiculturalisme.

L'identification et la reconnaissance d'une pratique sportive comme héritage culturel n'est pas un acte discriminatoire en soi. Il le devient des qu'il y a un financement public pour le promouvoir car les communautés culturelles aussi contribuent aux financement du patrimoine sportif présumé de la société d'accueil.

2 novembre 2011 |      
      

La Loi sur le patrimoine culturel adoptée et sanctionnée le 19 octobre, qui remplacera la Loi sur les biens culturels, contient une avancée majeure par l'inclusion du patrimoine dit «immatériel» dans les types d'héritages communs reconnus au Québec.

Ce patrimoine, aussi appelé «patrimoine vivant», correspond à diverses pratiques transmises de génération en génération, le plus souvent de façon orale ou par imitation. Les arts comme la chanson, la musique, la danse ou le conte traditionnels — exercés pour le loisir ou de façon professionnelle — en font notamment partie, de même que plusieurs savoir-faire artisanaux toujours pratiqués, comme le tissage au doigt de la ceinture fléchée ou le travail du forgeron par exemple. Ces activités, techniques et contenus culturels légués par nos prédécesseurs possèdent généralement la caractéristique d'appartenir à tous en droit (res communis) et d'être ainsi partageables à l'envi.



À l'instar des 137 États qui ont ratifié la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel adoptée à l'UNESCO en 2003 (dont le Canada n'est pas signataire), le Québec souhaite encourager la pérennité de son riche mais fragile héritage, au creuset de la diversité culturelle nationale et mondiale. Nous souhaitons féliciter la ministre de la Culture, Madame Christine St-Pierre, ainsi que toute son équipe, pour avoir mis de l'avant une telle loi marquant un progrès réel dans la reconnaissance de richesses populaires trop longtemps négligées par les pouvoirs et institutions publics.

Objectifs de la loi

L'un des objectifs premiers de la Loi sur le patrimoine culturel (LPC) vise à favoriser la continuité de la pratique des éléments du patrimoine immatériel pour les Québécois du présent et du futur, dans une optique de développement durable et selon l'intérêt public. Les générations futures, tout comme les précédentes, en adapteront le contenu en fonction de leurs besoins et sensibilités; elles auront accès à ces pratiques vivantes, et donc le loisir de choisir.

La LPC, qui entrera en vigueur dans un an, prévoit notamment l'octroi de statuts de reconnaissance pour des éléments du patrimoine vivant ainsi cautionnés par les communautés et groupes concernés sur le territoire du Québec. Un processus officiel de «désignation» par le ministère de la Culture (MCCCF) et d'«identification» par les municipalités sera mis en place afin de favoriser la mise en valeur des éléments culturels ciblés. La LPC prévoit également la capacité pour le ministre de soutenir financièrement les projets de «mise en valeur», de «transmission» et de «connaissance» du patrimoine immatériel. La formation, l'enseignement, la promotion, la diffusion et la recherche représentent en effet les moyens les plus sûrs pour sauvegarder et développer des pratiques traditionnelles vivantes.

Dans un contexte de déclin de la transmission au sein de la famille et de quasi-absence du patrimoine immatériel dans les structures formelles d'enseignement, il apparaîtra en effet avisé de soutenir, selon de nouveaux modes de passation, des initiatives de formation ou de création de matériel pédagogique. Il est actuellement possible, à titre d'exemple, d'étudier 20 ans en musique, du primaire au conservatoire, sans jamais avoir entendu ou étudié ne serait-ce qu'une seule fois une pièce instrumentale du répertoire traditionnel québécois ni jamais avoir pu observer les techniques propres aux virtuoses de ce domaine. La musique traditionnelle constitue pourtant l'un des fleurons de notre patrimoine, qui peut enrichir considérablement un apprentissage artistique.

Il sera également utile dans ce contexte de combler le manque évident de données socio-économiques dans le secteur, afin de mieux comprendre les structures liées aux diverses disciplines qui en font partie et de mesurer la place que celles-ci occupent dans la société, voire dans les collectivités concernées. Un tel état des lieux permettra de fournir une appréciation juste de la pratique des différents éléments du patrimoine immatériel et d'évaluer en fonction de comparables les mesures publiques déployées à cet égard. En effet, bien davantage que par des statuts officiels, la reconnaissance gouvernementale en matière culturelle passe par un soutien adéquat ainsi que par une présence dans le système d'éducation.


La plupart des éléments du patrimoine vivant n'ont pas fait partie de façon significative, jusqu'à présent, des choix opérés par le Québec à cet égard, malgré les demandes répétées du milieu depuis plusieurs décennies. C'est pourquoi une politique conséquente assortie de programmes spécifiques, dirigés vers les médiateurs du patrimoine vivant ainsi que vers les structures qui les représentent, qui ont recours à leurs services ou qui les forment, devra suivre l'entrée en vigueur de la LPC.

Les retombées sociales et économiques engendrées par le travail des divers acteurs du milieu du patrimoine vivant sont importantes pour le Québec. Il en va de la diversité culturelle de toute la communauté, de sa mémoire intergénérationnelle et de son identité. Il en va également de l'essor national et international d'un secteur d'activité dynamique et créatif. La nouvelle Loi sur le patrimoine culturel constitue un excellent premier pas vers un tel développement et nous espérons qu'elle donnera lieu à des mesures concrètes pour atteindre ses objectifs.









mercredi 27 janvier 2016

Une identité sportive d'exclusion

Le gouvernement québécois favorise-t-il

l'adoption d'une culture sportive d'exclusion des nouveau Québécois, la question se pose.   

Une analyse sommaire de l'approche québécoise pour constituer un PATRIMOINE sportif  nous mène à s'interroger sur la place que l'on a choisi de donner aux nouveau  québécois.

Il y a lieu de se demander même si les chercheurs principaux, historiens et fonctionnaires n'ont pas déjà développé un patrimoine historique du sport québécois qui  exclut  systématiquement certains personnes issues des communautés culturelles.

Je vous propose le cas le plus frappant, celui  de monsieur Georges SCHWARTZ.

En préambule

Je vous propose  un document intitulé:

Chronologie du sport québécois    du                                    
Secrétariat au loisir et au sport publié au mois de  Juillet 2003

En 2003, le Secrétariat du sport québécois confie le mandat a Donal Guay, historien sportif québécois, la tâche de dresser la voie pour l'établissement d'une culture sportive NATIONALISTE.
document de 42 pages http://www.education.gouv.qc.ca/fileadmin/site_web/documents/SLS/sport_loisir_act_physique/ChronologieSport.pdfent

Monsieur Guay procède à relater la chronologie historique des faits marquants de l'histoire sportive hérité de l'Angleterre  et de la
France. Je vous met au défi de trouver une seule trace dans le document de 42 pages qui mentionne l'existence du soccer au Québec.
Monsieur Guay affirme avoir basé sa recherche en grande partie sur les journaux et des mémoires.

A se fier sur cette chronologie il est à  croire que la Fédération de soccer du Québec n'a jamais été mis sur pied alors qu'elle célébrait son 100éme anniversaire il y a pas longtemps.

Par ailleurs, a la lecture des nombreux ouvrages de l'auteur le plus populaire  en histoire du sport Québécois
le soccer est totalement absent de son discours.

Dans un autre domaine l'on peut constater encore pire!



SI on se tourne du côté du
PANTHÉON des SPORTS du QUÉBEC par exemple,
une seule personne a été intronisée pour le soccer, et c'est WALTER SIEBER,

alors que des Québécois d'ADOPTION tels que GEORGES SCHWARTZ ont été totalement OUBLIÉ!


voici la fiche de monsieur Schwartz disponible aux archives Nationales

Identification PISTARD



 
Cote : P826


Centre : BAnQ Vieux-Montréal


                                                                                             
Titre, Dates, Quantité
Fonds Georges Schwartz . - 1974-1995
- 0.33 mètre(s) linéaire(s) de document(s) textuel(s)
- 31 photographie(s) : 11 épreuves n&b, 20 épreuves coul.
Notice biographique/Histoire administrative
Né de parents hongrois à Paris en 1929, Georges Schwartz immigre au Canada en 1951, il poursuit une brillante carrière dans le domaine de la joaillerie jusqu'en 2000. Il mène, parrallèlement à la pratique de son art, une carrière de journaliste pigiste, de commentateur sportif à la télévision et d'auteur. Georges Schwartz s'est également illustré dans le monde du sport à titre de joueur de soccer pour le Maccabee SC, l'US Tricolore, l'Athen SC et le Standard Belgica et d'entraineur aux niveaux provincial et national. Il fut président de la Fédération de soccer du Québec (FSQ) puis vice-président de l'Association canadienne de soccer (ACS). Il fut aussi le premier canadien membre d'un comité de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA). En plus d'être responsable du tournoi de soccer lors des Jeux Olympiques de Montréal en 1976, il fut président du tournoi des Compétitions internationales de Montréal (CIM 75) et consultant en soccer à la Régie des installations olympiques (RIO). Enfin, il a été l'initiateur et le président du Comité de candidature à l'organisation de la Coupe du monde de 1986 de la FIFA pour le Canada. George Schwartz a été intronisé au Temple de la renommée du soccer québécois ainsi qu'au Canadian Soccer Hall of Fame .
Historique de la conservation/Source immédiate d'acquisition
Documents donnés à BAnQ par le créateur des documents .
Portée et contenu
Ce fonds témoigne du travail de représentation accompli par le Comité de candidature du Canada pour l'obtention de la tenue de la Coupe du monde de soccer 1990 organisée par la Fédération Internationale de Football Association (FIFA). Au départ l'idée émane de la Régie des Installations olympiques (RIO). Le comité fut mis sur pied dès la fin 1977 et placé sous l'autorité de l'Association canadienne de soccer, chapeautant la RIO.

Entre temps, le 25 octobre 1982, la Colombie, pressentie pour recevoir la Coupe du monde de soccer 1986 faisait part de son désistement. Un changement de cap s'impose alors et le Canada entre dans la course pour accueillir la Coupe du monde 1986. Quatre pays sont en compétition : les États-Unis, le Mexique, le Brézil et la Canada et le choix final de la FIFA se portera sur la candature du Mexique annoncée le 20 mai 1983.

Le fonds Georges Schwartz comprend une première série portant sur les démarches effectuées par ce comité de candidature pour la coupe du monde de soccer et une seconde série rassemblant des écrits de Georges Schwartz. Il comprend des photographies, de la correspondance du comité avec plusieurs fédérations de soccer (canadiennes, américaines et européennes), des documents de travail et rapports du Comité de candidature, quelques brochures ainsi qu'un cahier de revue de presse grand format sur la Coupe du monde 1986. Un essai intitulé « Libérez le football » de Georges Schwartz et un scénario de film co-écrit par Robert Gurik et Georges Schwartz complète ce dossier .
Source du titre composé propre
Titre correspondant au contenu de l'unité de description
Termes rattachés
Association canadienne de soccer
Coupe du monde de soccer
Fédération de soccer du Québec
Fédération internationale de football association (Zurich)
Jeux olympiques (21e : 1976 : Montréal, Québec)
Québec (Province). Régie des installations olympiques
Schwartz, Georges, 1929-
Soccer




Peut-être que le PANTHÉON des SPORTS n'a pas eu accès a ces données!

Voici plutôt ce que l'on trouve sur le portail du Panthéon sous la rubrique SOCCER








Biographie de: SIEBER, Walter


Naissance : 5 mai 1941 à Jonschwil, Suisse
Intronisation : 2011
Disciplines : Olympisme et soccer
Catégorie : Bâtisseur


Reconnu internationalement pour son dévouement, son immense talent et ses succès éloquents dans l’organisation d’événements sportifs d’envergure, le plus québécois des suisses allemands – Walter Sieber – roule glorieusement sa bosse en sol canadien et à la grandeur de la planète depuis plus de quatre décennies à titre d’expert et grand bâtisseur.

Non seulement se distingue-t-il et se dévoue-t-il encore dans les hautes sphères de l’olympisme – au sein du Comité olympique canadien (COC) et du Comité du international olympique (CIO) – il est aussi omniprésent à titre de coordonnateur et conseiller à la Fédération internationale de football association (FIFA) depuis plus de 25 ans.


enfin il faut se poser la même question  lorsqu'on consulte l'un des sites indépendants les plus importants couvrant le sport et la culture sportive québécoise:




Qui sommes-nous?

logo_ses

En 1999-2000, bien avant l'ère des réseaux sociaux et des blogues, la première mouture de Sport et Société est mise en ligne. Publié sous forme de webzine mis à jour tous les mois, Sport et Société diffuse plus d'une centaine d'articles ayant trait à l'histoire sportive du Québec au cours de ses douze mois d'existence.


Fort de cette expérience, Sport et Société s'est bâti un réseau d'experts qui s'intéressent à l'histoire du sport en général.
En 2007, Sport et Société est de retour sous forme de blogue.
En mars 2011, Sport et Société se dote d'un nouveau site internet et commence la publication de ses cahiers d'histoire consacrés à l'histoire du sport au Québec.

En décembre 2014, Sport et Société se repositionne. Bien que l'histoire du sport continue d'être son fer de lance, le site est désormais ouvert aux autres champs de recherche qui touchent le sport et les pratiques corporelles.  

Depuis 2011, Sport et Société a également publié cinq cahiers d'histoire:

Notre mission:

  • Regrouper les personnes intéressées par une ou plusieurs thématiques associées au sport ou à l’une ou l’autre des nombreuses pratiques corporelles des Québécois : jeu, loisir, plein air, éducation physique, hygiène, danse, etc.
  • Promouvoir l’étude du sport et des pratiques corporelles des Québécois à partir d’une quelconque perspective issue des sciences humaines.
  • Développer un corpus documentaire québécois relatif au sport et aux différentes pratiques corporelles.
  • Diffuser les travaux relatifs aux sports et à la culture corporelle des Québécois.
  • Sensibiliser, intéresser, et collaborer à l’éducation du public au patrimoine sportif et à la culture corporelle et aux différents travaux et activités qui s’y rattachent.
  • Susciter et soutenir la recherche relative au patrimoine sportif et à la culture corporelle.
  • Contribuer à la sauvegarde du patrimoine matériel et immatériel rattachée au sport et à culture corporelle.



Le cas de monsieur SCHWARTZ nous amène à poser des questions sérieuses quant à l'objectivité des personnes impliquées dans l'élaboration d'une identité sportive québécoise.

Notamment sur nos présumé historiens qui sont prêts à se prostituer pour des idéologues nationalistes parfois aveuglé par leur objectifs de réécrire l'histoire en faisant évaporer la vérité.








lundi 25 janvier 2016

Se forger une identité pour mieux se défendre

Le hockey comme patrimoine immatériel québécois?

11 juin 2015 |Caroline Montpetit      
On doit à Alexander Henderson la plus ancienne photographie de hockey. Il s’agit d’une partie organisée au campus de l’Université McGill, à Montréal, en 1884. En arrière-plan, le mont Royal.
Photo: Alexander Henderson / Bibliothèque et Archives CanadaOn doit à Alexander Henderson la plus ancienne photographie de hockey. Il s’agit d’une partie organisée au campus de l’Université McGill, à Montréal, en 1884. En arrière-plan, le mont Royal.
Fondateur de l’identité québécoise, le hockey sur glace ? C’est ce que croit le Conseil québécois du patrimoine vivant, qui prépare un dossier pour faire reconnaître « notre sport national » comme patrimoine immatériel du Québec, aux côtés du chant de gorge inuit, du canot à glace et de la veillée de danse. Le projet devrait être bientôt soumis à l’attention de la ministre de la Culture et des Communications du Québec, Hélène David.
  Mais si plusieurs croient encore que le hockey est né dans les ruelles glacées de Montréal, un livre a récemment lancé un pavé dans leur mare. Jean-Patrice Martel, président de la Société internationale de recherche sur le hockey, a en effet publié, avec les Suédois Patrick Houda et Carl Gidén, un petit livre à compte d’auteur, On the Origins of Hockey, qui situe les origines de notre sport chéri sur la glace de la… lointaine Angleterre.
  « Au départ, le hockey se jouait avec une balle de bois, raconte M. Martel en entrevue. Puis, pour ne pas se blesser, on a commencé à jouer avec des bouchons de barils de bière en liège. » Son livre avance même que le mot « hockey » serait, selon certains, dérivé du nom d’une bière anglaise appelée Hock Ale, plutôt qu’inspiré du mot français « hocquet », qui signifie bâton de berger, ou même de l’anglais « hooked ».
  Et c’est aussi en Angleterre que le hockey s’est muté en sport de glace sur patins dans la première moitié du XIXe siècle. Le sport était alors pratiqué par la famille royale, et différents récits de la vie à la cour en témoignent. Le livre de Martel cite aussi une lettre du naturaliste anglais Charles Darwin à son fils, datée de 1853. Le père de la théorie de l’évolution des espèces y dit : « Mon cher Will. As-tu trouvé un bel étang pour aller patiner ? J’avais l’habitude de jouer au hocky [sic] sur la glace en patins. »

Tradition anglophone
  Et Montréal dans tout ça ? En fait, la métropole aurait hébergé la première partie de hockey dite « organisée », au Victoria Skating Ring, sur ce qui est aujourd’hui le boulevard René-Lévesque, en 1875. Martel, Gidén et Houda ont retrouvé l’annonce de ce match dans The Montreal Gazette de l’époque. Ensuite, les résultats ont aussi été publiés dans le quotidien anglophone, de même que dans deux autres quotidiens, le Montreal Star et le Montreal Herald.
  « Cela prendra une autre quinzaine d’années avant que les quotidiens francophones s’intéressent au hockey. À l’époque, les francophones n’avaient pas assez d’argent pour faire partie du club privé qui jouait au hockey à la Victoria Skating Ring », raconte M. Martel.
  L’homme insiste : le hockey ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui sans l’élan et l’engouement qu’il a trouvé à Montréal. L’organisateur du premier tournoi du Victoria Skate Ring, qui était aussi capitaine de l’une des équipes, était James George Aylwin Creighton, un Néo-Écossais venu à Montréal pour travailler. On le considère comme « le père du hockey organisé » et la Société internationale pour la recherche sur le hockey lui a même consacré un monument sur le site de la Victoria Skating Ring. (Notons qu’à l’époque, en français, on ne disait pas « la patinoire », mais « le patinoir », sans e). Ces plaques, qui avaient été dévoilées en 2008 en présence du premier ministre du Canada Stephen Harper, qui a lui-même écrit un livre sur le hockey, n’ont pourtant pas encore été installées par Parcs Canada.
  Et plusieurs villes canadiennes continuent de se disputer la paternité de la pratique du hockey au Canada, sous différentes formes. Dans son livre, Jean-Patrice Martel cite les cas de Windsor en Nouvelle-Écosse, de Halifax, voire de Deline dans les Territoires du Nord-Ouest.
  C’est à cet endroit en effet qu’on aurait joué pour la première fois au hockey au Canada. La preuve en est inscrite dans une lettre de l’explorateur britannique John Franklin, écrite le 21 octobre 1825, au sujet des pratiques de son équipage. « Jusqu’à ce que la neige tombe, écrit-il, la pratique du hockey, joué sur la glace, était notre sport matinal. » Cela ne fait pas de l’endroit le « lieu de naissance » du hockey, mais ce serait, selon Martel, la preuve la plus ancienne d’une pratique de hockey au Canada.
  Origines
  D’autres théories circulent par ailleurs sur les origines du hockey au Canada. Dans leur livre L’Indien généreux, ce que le monde doit aux Amériques, publié aux éditions du Septentrion, Denis Vaugeois, Louise Côté et Louis Tardivel écrivent que « bien avant que la Soirée du hockey n’apparaisse sur le petit écran, plusieurs nations amérindiennes le pratiquaient sous une forme ou sous une autre. C’est du moins ce qu’affirme Warren Lowes dans Indian Giver. Pour lui, l’origine autochtone du hockey ne fait aucun doute et pour le prouver, il s’appuie sur divers témoignages ». Le Lowes en question affirme que l’idée de jouer au hockey avec des patins sur la glace serait venue de militaires britanniques installés à Halifax qui regardaient les Micmacs jouer sur les lacs gelés de Darmouth.
  En réclamant le statut de patrimoine culturel immatériel pour le hockey, le Conseil québécois du patrimoine vivant compte aussi faire connaître le processus qui mène à cette reconnaissance. Car si le hockey n’est pas un sport en manque de fonds publics, d’autres formes de patrimoine vivant assurent difficilement leur survie. Le fait que le hockey soit un sport très populaire « donne une visibilité au processus » de reconnaissance de patrimoine immatériel, dit le directeur du CQPV, Antoine Gauthier. S’il n’exclut pas le hockey professionnel de sa demande de reconnaissance, le Conseil québécois du patrimoine vivant s’intéresse davantage aux ligues de garage et aux associations de hockey amateur.
  Le Conseil du patrimoine vivant est un groupement d’organismes impliqués dans la culture traditionnelle transmise de génération en génération. Il ne compte pas de clubs de hockey dans ses membres, mais « beaucoup de hockeyeurs », ajoute M. Gauthier.
  Le patrimoine immatériel est désormais protégé par la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel et immatériel de l’UNESCO, qui n’a pas été ratifiée par le Canada. Il regroupe des pratiques et un savoir-faire transmis de génération en génération. Le Conseil québécois du patrimoine a l’intention de demander cette reconnaissance pour d’autres pratiques à la ministre de la Culture et des Communications du Québec au cours des prochains mois, mais ne dévoile pas ses projets pour l’instant.

dimanche 24 janvier 2016

L'intégrateur intégré

L'Intégrateur intégré


Comment transformer l'école québécoise pour qu'elle devienne une entreprise qui s'auto-finance en mode de partenariat public privé...

Attirer et retenir l' argent des AMÉRICAINS 

               Pour le moment le Québec attire les Américains au niveau universitaire mais ce n'est qu'une question de temps avant que les écoles privées et publiques québécoises du primaire au collégial ne se transforment en de véritables entreprises en Partenariat Public Privé(PPP).

Dans plusieurs collèges privés c'est déjà chose faite.
                 
                                  
MONTRÉAL - Les universités canadiennes ont toujours exercé un attrait sur les étudiants américains, mais la faiblesse du huard pourrait contribuer à ce que ce phénomène prenne de l'ampleur.
Située à seulement 90 minutes d'avion de grandes villes comme New York et Boston, Montréal figure comme une destination de choix pour des jeunes qui recherchent une éducation de qualité dans un environnement stimulant.
Le magazine Time rapporte que pour des milliers d'étudiants américains, prendre la direction du Nord représente un choix sensé, tant sur le plan financier qu'intellectuel. Et encore plus pour ceux qui peuvent profiter de la citoyenneté canadienne.
En 2013, on dénombrait plus de 8000 étudiants américains dans les grandes institutions d'enseignement canadiennes. Une bonne partie de cette clientèle opte pour Montréal.
La réputée Université McGill a attiré à elle seule plus de 2200 étudiants américains en 2012, l'année la plus récente pour laquelle des statistiques sont disponibles.
Des données de Statistique Canada indiquent qu'un étudiant international à temps plein a payé près de 22 000 $ en moyenne, au Canada, en 2014. Ça représente bien souvent à peine la moitié du coût demandé dans une institution américaine comparable, sans compter le pouvoir d'achat supplémentaire que la force du billet vert procure aux étudiants américains.
Et comme il faut au moins quatre ans pour obtenir son diplôme, on comprend qu'en fin de compte, les économies sont énormes pour une formation de qualité.

Actuellement le Canada attire 

Un sondage  du BCEI indique que la moitié des étudiants internationaux ont l'intention de demander la résidence permanente au Canada. Il s'agit d'un recul par rapport à 2013; 57 % des étudiants étrangers disaient alors vouloir s'établir au pays.
Les intentions des étudiants internationaux de rester au pays à la fin de leurs études varient aussi en fonction de leur région d'origine. Plus des deux tiers des étudiants venant de l'Afrique subsaharienne (71 %) et de l'Asie du Sud (66 %) pensent rester au Canada. Ce pourcentage chute à 32 % chez les étudiants européens et à 22 % pour les Américains.

En 2013, les étudiants internationaux au pays provenaient surtout de la Chine (32 %), de l'Inde (11 %), de la Corée du Sud (6 %), de l'Arabie saoudite (5 %) et de la France (4 %).    
Le rapport du BCEI note une progression marquée des étudiants nigériens qui choisissent le Canada, en hausse de 29 % par rapport à l'année précédente, à 6080. Les Russes étaient aussi plus nombreux l'an dernier à étudier au Canada, soit 2970; une augmentation de 24 % comparativement à 2012.


Les étudiants américains parviennent plus facilement à se faire des amis canadiens que ceux d'autres pays. Selon le sondage, 84 % des Américains étudiant au pays ont des amis canadiens, contre la moitié de ceux qui viennent de l'Amérique latine et des Caraïbes.
Les étudiants de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient sont ceux qui parviennent le plus difficilement à tisser des amitiés avec des Canadiens.


Dépenses et inquiétudes  
Le sondage précise que les étudiants étrangers se préoccupent du coût des études et de la vie au pays.
Leur plus grande préoccupation financière concerne le paiement des droits de scolarité, des livres et autres frais d'études. En fait, 85 % des répondants ont dit s'inquiéter beaucoup ou assez de ces dépenses.
Le logement, les coûts pour l'alimentation et les transports sont aussi source de préoccupations pour les étudiants étrangers, selon l'enquête d'opinions. 
Par ailleurs, selon une étude de la Banque HSBC, étudier au Canada coûte plus cher, mais le pays reste plus abordable par rapport à d'autres pays. Le coût moyen des études de premier cycle universitaire pour un étudiant étranger au pays est d'environ 30 000 $US pour un an contre plus de 36 000 $US par année aux États-Unis et 42 000 $US en Australie.
Le Canada est la septième destination la plus populaire dans le monde pour des études à l'étranger.


En somme il faudra revoir la politique d'intégration québécoise car nous pensons intégrer nos invités mais c'est nous qui nous intégrons  a eux...qui en soi n'est pas une mauvaise chose.

A condition que notre seule motivation n'est pas le FRIC!






mercredi 20 janvier 2016

Le secret est dans la fondation scolaire


Jusqu'à maintenant, notre fondation a aidé des centaines de jeunes à obtenir un diplôme dont ils sont fiers aujourd'hui et qui leur permet une vie active, productive et enrichissante au sein de notre communauté.




Score TRANSPARENCE  pour le CÉGEP de Joliette : 0 SUR 10


mais cela se comprend car il en coute  108 080 $ (60 %) en frais de gestion et administration!

LA FONDATION DU CÉGEP A JOLIETTE - Points saillants



Statut
Enregistré
date d'entrée en vigueur du statut1993-07-01
Périodes de déclaration
Points saillants
Sélectionnez l’option Points saillants pour  2015-06-30 
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2014-06-30
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2013-06-30
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2012-06-30
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2011-06-30
Les détails
Sélectionnez l’option Les détails pour 2015-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2014-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2013-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2012-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2011-06-30

Numéro d'enregistrement : 139720437RR0001

Désignation : Oeuvre de bienfaisance

Programmes et activités :

Programmes continus :

LA FONDATION ORGANISE DES ACTIVITÉS ET SOLLICITE DES DONS DANS LE BUT DE PROMOUVOIR, PROTÉGER, DÉVELOPPER ET FAVORISER L'ÉDUCATION SOUS TOUTES SES FORMES.

Nouveaux programmes :


Revenus

Graphique circulaire des revenus
  •  
  • Dons pour lesquels on a délivré un reçu 71 681 $ (70 %)
  • Dons pour lesquels on n'a pas délivré de reçus 18 943 $ (19 %)
  • Dons d'autres organismes de bienfaisance (0 %)
  • Financement public (0 %)
  • Autres revenus 11 665 $ (11 %)
  • Total des revenus : 102 289 $

Dépenses

Graphique circulaire des dépenses

Rémunération


  • Rémunération totale pour tous les postes
    77 532 $
  • Employés permanents et à temps plein
    1
  • Employés à temps partiel
  • Honoraires de professionnels ou de consultants
    10 961 $





4-Commission scolaire des Affluents



mot du président : Roger Brulottehttp://www.cra-arc.gc.ca/ebci/haip/srch/advancedsearchresult-fra.action?n=+&b=894123025&q=0001&s=registered&d=&e=+&c=&v=+&o=&z=&g=+&t=+&y=+&p=1







score de transparence pour la CS des Affluents : 1 sur 10



Fondation Réussite scolaire de la Commission scolaire des Affluents

2008 - La Commission scolaire des Affluents tient  son 12e tournoi de golf ... d'honneur de Jean-Louis Legault, président de Daktronics Canada, 

FONDATION POUR L'ENCOURAGEMENT SCOLAIRE (FPES) - Points saillants





Statut
Enregistré
date d'entrée en vigueur du statut1998-01-01
Périodes de déclaration
Points saillants
Sélectionnez l’option Points saillants pour  2015-06-30 
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2014-06-30
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2013-06-30
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2012-06-30
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2011-06-30
Les détails
Sélectionnez l’option Les détails pour 2015-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2014-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2013-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2012-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2011-06-30

Numéro d'enregistrement : 894123025RR0001

Désignation : Oeuvre de bienfaisance

Programmes et activités :

Programmes continus :

Soutenir la persévérance et la réussite scolaire chez les élèves et étudiants en situation difficile et encourager les activités de formation liées aux programmes d'études dans le domaine des arts et de l'éducation physique.

Nouveaux programmes :



Revenus

Graphique circulaire des revenus
  •  
  • Dons pour lesquels on a délivré un reçu (0 %)
  • Dons pour lesquels on n'a pas délivré de reçus 180 592 $ (99 %)
  • Dons d'autres organismes de bienfaisance (0 %)
  • Financement public (0 %)
  • Autres revenus 2 075 $ (1 %)
  • Total des revenus : 182 667 $



Dépenses

Graphique circulaire des dépenses






5- Commission scolaire du même nom

Fondation des Premières-Seigneuries

Créée en 2003, la Fondation des Premières-Seigneuries vise à apporter un soutien professionnel aux élèves de la Commission scolaire dont la réussite est compromise et à contribuer à la réalisation de projets éducatifs, tout en soulignant l’excellence de jeunes qui se démarquent.
Depuis sa création, la Fondation a versé plus de 495 135 $ à nos écoles et en bourses à nos élèves. Comment? Grâce aux dons du public, du personnel de la Commission scolaire et de ses partenaires. Et bientôt, grâce à vous!
La Fondation est reconnue comme un organisme de bienfaisance par Revenu Canada : elle peut émettre des reçus officiels pour tout don de 25 $ et plus qu'elle reçoit. 







Hei je vous connait vous








  
 
Tournoi de golf du maire
Jeudi | 20 août 
Formulaire d'inscription en ligne
   
Visitez la page Facebook de la Fondation pour les élèves





Le soutien à la persévérance scolaire demeure une priorité
Partenariat entre la Ville, la CSRS et les Caisses Desjardins
Christian Caron christian.caron@tc.tc Publié le 30 novembre 2015





jk-30112015-perseverance-scolaire.JPG
La persévérance scolaire demeure une priorité dans la CSRS grâce à un partenariat entre les Caisses Desjardins, la Ville de Sherbrooke et la Commission scolaire.
©TC Media

Grâce à un partenariat de tous les instants impliquant la Ville de Sherbrooke, la CSRS et les Caisses Desjardins de Sherbrooke, le programme de soutien à la persévérance scolaire vient d’être renouvelé jusqu’en août 2017.

Demeurer à l’école représente la meilleure option pour réaliser ses rêves
Gilles Normand
«Propulsion Jeunesse Desjardins», tel est le nom de ce programme qui vise à encourager les jeunes vers la réussite scolaire.
Des représentants des trois partenaires se sont pointés au Pavillon des techniques industrielles, récemment, pour confirmer la nouvelle.
Les Caisses Desjardins, la Commission scolaire régionale de la Région-de-Sherbrooke (CSRS) et la Ville de Sherbrooke ont convenu de verser une contribution respective de 150 000 $, 120 000 $ et 90 000 $.
On parle ici d’un engagement financier totalisant 360 000 $.
La Fondation pour les élèves de la CSRS collabore également au projet en administrant les sommes d’argent en vue de la concrétisation des diverses initiatives scolaire.
«On veut aider les jeunes, on a à cœur la persévérance scolaire. On veut aussi  soutenir les initiatives et notre client, c’est la Commission scolaire», a mentionné d’entrée de jeu, Serge Audet, président de la Fondation.
Le président des Caisses Desjardins, Roger Durand, était pour sa part fier de signaler qu’il s’agit d’une troisième entente impliquant ces trois partenaires. «Nous sommes désireux d’appuyer l’éducation et je suis convaincu de la pertinence de ce programme», d’émettre Roger Durand qui croit que ces multiples expériences contribuent à encourager la persévérance scolaire.
«Il faut constamment miser sur la jeunesse, c’est notre relève», insiste Roger Durand.
Publicité - Lire la suite de l'article ci-dessous
Le maire de Sherbrooke, Bernard Sévigny, est lui aussi convaincu de l’importance de maintenir ce programme en place. Qu’il suffise de dire qu’une bonne partie des profits amassés dans le cadre de son tournoi de golf annuel est versée à la Fondation. En quelques années, c’est une somme de 100 000 $ qui a été acheminée à la Fondation.
«Sherbrooke est une ville de savoir, mais on offre également toutes sortes d’opportunités variées. L’école permet de découvrir et d’expérimenter», a-t-il véhiculé comme message en conférence de presse.
Le premier magistrat reconnaît que le décrochage scolaire représente un drame dans la vie d’un adolescent. «Il y a une flamme à nourrir pour éviter le décrochage. Avec ce partenariat, tout le monde y gagne», insiste le maire Bernard Sévigny.
Un diplôme
Le président de la CSRS, Gilles Normand, se réjouit grandement du renouvellement de cette entente. «L’école demeure le lieu tout désigné pour atteindre les jeunes. Depuis 11 ans, ce programme nous a aidés à atteindre nos objectifs. Un objectif qui consiste essentiellement à garder nos jeunes à l’école. Ce programme donne assurément un sens aux apprentissages», de certifier Gilles Normand.
Ce dernier estime que c’est à l’école que le jeune peut développer son identité. «Demeurer à l’école représente la meilleure option pour réaliser ses rêves», ajoute le président de la CSRS en invitant toutes les composantes de la société à faire sa part dans la lutte du décrochage scolaire.
Depuis onze ans, plus de 150 élèves ont profité des services de ce programme.




score de transparence pour la CSRS 0 sur 10  





Fondation pour les élèves de la Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke - Points saillants





Statut
Enregistré
date d'entrée en vigueur du statut2008-05-12
Périodes de déclaration
Points saillants
Sélectionnez l’option Points saillants pour  2015-06-30 
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2014-06-30
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2013-06-30
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2012-06-30
Sélectionnez l’option Points saillants pour 2011-06-30
Les détails
Sélectionnez l’option Les détails pour 2015-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2014-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2013-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2012-06-30
Sélectionnez l’option Les détails pour 2011-06-30

Numéro d'enregistrement : 853332617RR0001

Désignation : Fondation publique

Programmes et activités :

Programmes continus :

Relais 02 Conférence Tournoi de golf

Nouveaux programmes :



Revenus

Graphique circulaire des revenus
  •  
  • Dons pour lesquels on a délivré un reçu 213 803 $ (28 %)
  • Dons pour lesquels on n'a pas délivré de reçus 545 124 $ (72 %)
  • Dons d'autres organismes de bienfaisance (0 %)
  • Financement public (0 %)
  • Autres revenus (0 %)
  • Total des revenus : 758 927 $



Dépenses

Graphique circulaire des dépenses



Rémunération


  • Rémunération totale pour tous les postes
    40 599 $
  • Employés permanents et à temps plein
    1
  • Employés à temps partiel
  • Honoraires de professionnels ou de consultants
    52 374 $
  • score de TRANSPARENCE  0 SUR 10 POUR LE PATELIN A CHAREST