samedi 27 février 2016

QUAND MONTRÉAL ÉTAIT MULTICULTURELLE



Jackie Robinson premier NOIR  dans les ligues majeurs de baseball

Les Montréalais ont-ils encore la côte Multiculturelle!
Personnellement j'en doute. Car avec Denis Coderre et la publication
de l'annonce sur le hockey comme sport d'inclusion et le soccer non par la ville de Montréal- et
...
Par le fait que Denis a toujours milité pour l'Américanisation
par le sport...il faut se poser la question...
Montréal est-elle encore une ville multiculturelle.
Les Québécois eux sont-ils Multi ou Interculturels.



Petit jeu: Jackie Robinson a joué pour les Royaux de Montréal avant qu'il ne devienne le premier NOIR a être accepté dans la Ligue Majeur de Buseball.








Barak Obama le premier citoyen NOIR d'accéder a la MAISON BLANCHE!




ET enfin et pas le moindre: P.K. SUBBAN sera-t-il le premier noir a
se tailler un poste de premier CAPITAINE D'UNE ÉQUIPE DANS LA LNH...
IL EST PERMIS DE RÊVER NON.
JE SAIS, IL EST PLUS FACILE D'ÊTRE ÉLU A LA MAISON BLANCHE.
CELA EN DIT LONG SUR MONTRÉAL.

vendredi 19 février 2016

Les Québécois sont Italiens!

Hervé Fortin: un passionné d’histoire Imprimer Envoyer
Par Virginie Simoneau-Gilbert et Vicky St-Jean

Comme tout le monde le sait, la transmission de l'histoire est très importante dans une société grâce à l’école. Ainsi, en faisant preuve de passion, l’enseignement de cette matière devient un métier de rêve pour plusieurs. Par exemple, Hervé Fortin, un vrai mordu d’histoire, enseigne cette matière depuis maintenant 19 ans avec toujours autant d’ardeur

Pourquoi avoir choisi d’enseigner l’histoire et non une autre matière?
C’est une matière que j’ai toujours aimée. Depuis que je suis tout petit, l’histoire est une passion pour moi. Cependant, je suis allé en histoire un peu par accident car, au début, j’étudiais en comptabilité, mais j’ai coulé tous mes cours de maths. Je me suis donc tourné vers ce qui me passionnait depuis toujours, soit l’histoire.

Qu’est-ce qui vous passionne dans l’histoire?
J’aime savoir comment l’humanité a évolué ou a disparu, dans certains cas. Je trouve cela fascinant et mystérieux.

Quelle partie de l’histoire aimez-vous enseigner?
J’aime tout de l’histoire. Quand j’enseignais la préhistoire et l’antiquité, j’adorais ça, mais aussi quand j’enseigne l’histoire du Québec. Ça me passionne, car ce sont nos ancêtres. Cependant, j’aime beaucoup le XXe siècle, car c’est une période riche en documents et en matériel audiovisuel.

Avez-vous un personnage favori qui a marqué l’histoire?
J’aime beaucoup Napoléon, car son parcours politique est très intriguant et Winston Churchill [premier ministre britannique lors de la Deuxième Guerre mondiale] à cause des décisions qu’il a prises lors de ce temps de crise. J’aime aussi René Lévesque [premier ministre québécois célèbre], les explorateurs pour leur courage, Darwin pour ses avancées scientifiques et Charlemagne [roi des Francs], car c’est un personnage plus grand que nature.

À quels niveaux enseignez-vous?
J’enseigne l’histoire du Canada en quatrième secondaire, l’histoire du monde contemporain et aussi la géographie (cours optionnel) en cinquième secondaire.

Cela fait combien d’années que vous êtes prof?
Cela fait 19 ans dans la même commission scolaire.

Avez-vous déjà enseigné une autre matière?
Non, j’ai toujours enseigné des matières reliées aux sciences humaines. J’ai enseigné l’histoire, la géographie et l’ancien cours d’économie.

Qu’avez-vous fait comme études?
Après le secondaire, j’ai fait un DEC en sciences humaines et j’ai ensuite fait un BAC en histoire. J’ai aussi un certificat en adaptation scolaire.

Avez-vous un souvenir mémorable de vos années déjà accomplies comme prof?
Pendant des sorties scolaires au cinéma Imax, je m’endors mais, sous mes lunettes 3D, ça ne paraît pas. Alors, je peux dormir tranquille.

Êtes-vous impliqué dans un sport ? Si oui, lequel?
Je suis entraîneur de soccer depuis des années en U-14 féminin 3A et, avant, j’étais entraîneur de touch football en benjamine 2A avec Richard Beaulieu.

Pourquoi avoir choisi de vous impliquer dans le domaine du sport?
Le sport fait partie de ma vie. Quand mes filles ont commencé à jouer au soccer, à la place de les regarder, je les entraînais. De plus, lorsque je fais du vélo, j’aime parfois arrêter dans les parcs afin de regarder les jeunes jouer au soccer.

Que pensez-vous du Québec actuel?
Je trouve que c’est une société qui n’avance plus, car elle est prise dans les vieilles idées de la Révolution tranquille. Il n’y a donc pas de changement. C’est une société qui a peur des débats ou des discussions car, lorsque les gens débattent, certains croient qu’ils se chicanent, alors que ce n’est pas toujours le cas. C’est justement ce que j’aime de l’histoire: on peut avoir différents points de vues et les partager ensemble.

Selon vous, quelle est la qualité la plus importante qu’un prof doit avoir?
La passion. Si tu n’aimes pas ton métier, tu n’y survis pas, car c’est très exigeant. Il faut aimer sa matière et aimer travailler avec les jeunes.

Richard Beaulieu, héros du mois dans La Presse+ Imprimer Envoyer
Grâce aux efforts combinés de Richard Beaulieu, Daniel Aubin et Jacques Chevrette, des étudiants de l’Université du troisième âge (UTA) et des élèves de l’école Jean-Baptiste Meilleur, les élèves de l’école primaire Bon Samaritain, à Labrousse, en Haïti, reçoivent un repas par jour et du matériel pédagogique. MM. Beaulieu, Aubin et Chevrette sont nos héros du mois.

Labrousse est une localité située dans la région de Miragôane. Lors du tremblement de terre qui a ravagé Haïti en 2010, toutes ses écoles ont été détruites. Après le séisme, la Fondation Paul Gérin-Lajoie a entrepris, avec des fonds de l’Agence canadienne de développement international (ACDI) et des dons privés, de reconstruire cinq écoles, dont celle de Bon Samaritain, avec son partenaire haïtien.

Jacques Chevrette, qui s’est attaché à Haïti après s’y être rendu plus d’une fois, a organisé bénévolement une collecte de fonds avec son groupe de l’Université du troisième âge. Cette collecte a permis de recueillir 41 000 $ pour la reconstruction de Bon Samaritain, qui accueille 115 élèves. Ils ont également recueilli 11 000 $ pour meubler l’école avec du mobilier fabriqué par des élèves en ébénisterie d’Haïti. Après ces deux collectes de fonds, Jacques Chevrette a eu l’idée de contacter l’école secondaire Jean-Baptiste Meilleur (JBM), située à Repentigny, pour leur proposer de collaborer à un projet pour Haïti : un parrainage d’école à école.

« Chaque année, nos élèves ont un grand projet interdisciplinaire, explique Richard Beaulieu, enseignant et coordonnateur du programme international de JBM. Jacques Chevrette est venu les rencontrer pour leur exposer les problématiques de Bon Samaritain et ils ont déterminé ensemble que les besoins les plus urgents étaient le matériel scolaire et l’alimentation des élèves. »

Les élèves ont donc conçu et fabriqué eux-mêmes du matériel pédagogique pour les mathématiques, le français, les sciences, des jeux éducatifs, des affiches, des agendas scolaires et même un guide alimentaire tenant compte des aliments disponibles sur place.

« On savait aussi qu’il n’y avait pas d’électricité là-bas, alors les élèves ont dû en tenir compte et faire preuve d’imagination, ajoute Richard Beaulieu. Ils ont adoré leur expérience et nous allons renouveler le projet l’an prochain. »

Les élèves de JBM ont également recueilli 3200 $ pour permettre à la cantine de Bon Samaritain de fournir un repas chaud équilibré – souvent le seul de la journée – à chacun de ses petits élèves, dont certains marchent jusqu’à 12 km par jour pour fréquenter l’établissement.

« En plus d’aider Labrousse, ce projet a permis de rapprocher les gens du Nord et du Sud. »
— Jacques Chevrette

En mars dernier, l’infatigable bénévole s’est rendu en Haïti pour livrer le matériel fabriqué par les élèves québécois en compagnie de Daniel Aubin, directeur principal de la Fondation Paul Gérin-Lajoie.

Ce dernier précise que sa fondation a d’autres projets pour Labrousse. Elle entend notamment amener l’électricité et l’internet au cours des prochaines années, ce qui devrait changer de fond en comble la vie des habitants. La fondation souhaite également élargir le parrainage d’école à école.

« C’était la première fois que nous mettions en place ce type de partenariat, dit Daniel Aubin. C’est un modèle qu’on veut reproduire et nous allons le proposer aux écoles qui participent à la dictée PGL. »

Source: La Presse+

Le pétéca

Le Pétéca, vous connaissez ?

 
Le Pétéca est un sport plutôt méconnu dans la Belle Province. Il s’apparente pourtant à deux sports pratiqués chez nous, soit le badminton et le volleyball.
L’enseignant en éducation physique, Marc Hamel a inculqué la Pétéca aux jeunes élèves de l’école secondaire Jean-Baptiste-Meilleur.
Un tournoi a même été organisé sur l’heure du dîner, regroupant des élèves de première à cinquième secondaire.
Le jeu consiste à échanger un gros volant formé de quatre grandes plumes, appelé une Pétéca, entre deux joueurs de part et d’autre du filet. On peut facilement comparer ce sport, — traditionnel au Brésil — au badminton, mais sans raquette.
« Il faut avoir de l’endurance pour être performant à ce sport, car les échanges peuvent être longs, explique Richard Gingras, au moment de retrouver son souffle après une belle victoire. Les smash ressemblent davantage au volleyball, mais la technique s’apparente au badminton. On ne connait pas la technique et les services peuvent être difficiles, mais ce n’est pas un sport difficile à apprendre. Les bons services sont ceux qui se retrouvent près du filet. On peut les diriger partout sur le terrain adverse selon les faiblesses de l’autre équipe.
La rapidité des réflexes est primordiale dans ce sport. « C’est un peu la technique d’un gardien de but. Il faut être rapide et savoir donner des coups avec les deux mains », poursuit l’étudiant en quatrième secondaire.
Notons que ce sport a d’abord été pratiqué avec les élèves de quatrième secondaire, dans la concentration multisports. Celle-ci se veut une occasion de pratiquer des sports peu connus. Quelque 35 équipes se sont inscrites au tournoi qui avait lieu la semaine dernière sur l’heure du dîner. « Nous voulions l’offrir à tous les élèves pour permettre un échange entre tous les étudiants », stipule M. Hamel.
Notons que ce sport a déjà été une discipline aux Jeux olympiques, en 1920. L’équipe gagnante est celle qui arrive à remporter deux manches de douze points. Un point est inscrit uniquement sur un service.

dimanche 14 février 2016

Les aspirants au pouvoir avec le don de bi-location

Puisqu'on parle de Skaters et le droit à l'accès à l'activité physique et d'éducation et de démagogie il y à un nom qui me saute à l'esprit. Un administrateur scolaire du nom de Daniel Forest.

Lorsque je me suis entretenu il y a quelque-temps avec un curé d'une paroisse que je ne nommerais pas, il m'a dit que depuis les années 60, depuis que l'église s'est fait botté le derrière hors des écoles québécoises la culture de contrôle et de recherche de pouvoir(pour faire la promotion du conservatisme catholique) n'a pas pour autant disparu des écoles.

Au contraire, la culture du moine est présente et seulement l'habit a changé!

Aujourd'hui voici à quoi ressemble le moine catholique conservateur dans le système publique québécois:



Monsieur Daniel Forest n'aime pas les jeunes qui font du skate!
Avant que sa carrière ne prenne un essor fulgurant pour le propulser au poste actuel de directeur-général adjoint à la commission scolaire des affluents, il était d'abord  simple directeur d'école
et avant il était je crois bien( reste à valider, prof de religion).

C'est alors qu'il était directeur de l'école secondaire Jean-Baptiste Meilleur( pendant 1 an environ)
qu'il à obtenu une demande de ses patrons(de la CSA) en rapport avec un SKATE-PARK.

La commission scolaire faisait un semblant de consultation suite à la demande de la ville de Repentigny d'installer un SKATE_PARK prêt du stationnement adjacent de l'école de formation des adultes à Repentigny, près de la piscine.

Alors, voici la méthode machiavellique pour les aspirants politiciens démagogiques pour obtenir un refus à une demande et ne pas avoir à mentir quant au processus de consultation.


profitez-en c'est gratuit et comme facebook cela le sera pour toujours!


Donc, M le directeur Forest reçoit la demande pour le SKATE_PARK.
Il décide de consulter uniquement le département d'éducation physique(11 membres)
Me semble que faire une consultation du genre il aurait attendu pour mettre sa demande a l'ordre du jour d'une journée pédagogique.
Oui, si son but était d'en débattre du projet. Genre, les enseignants d'éducation physique auraient-ils un plateau d'enseignement de plus, qui fera la discipline si des skaters se présentent sur les heures de classe etc.


En somme faire un débat un tentinet démocratique.


Mais le Vatican n'aime pas la DÉMOCRATIE.

Monsieur Forest convoque les enseignants d'éducation physique à l'improviste un matin de semaine à 8h45, soit 20 minutes avant la cloche du début des cours.
Il discute de 3-4 sujets pendant les 20 minutes alors que les enseignants ne pensent qu'à retourner à leur local et aux gymnases qui sont situé à 1km du bureau de la direction.
Et enfin de discussion quand les profs commencent à faire sentir qu'il est temps de s'en aller à leur cours monsieur le directeur lance par la bande,

J'ai reçu une demande de la ville pour un SKATE-PARK près de l'école
dit-il, y a tu quelqu'un qui est en faveur...
hahaha....
non..


fin de la leçon


Cette méthode de semblant de consultation est contagieuse, les conseils municipaux, les commissions scolaires, les fonctionnaires quoi.
La belle fonction publique qui nous gère comme de bons curés!

Attention ils sont coriaces, et ils oublient rapidement les leçons de l'inclusion et de la justice pour ne voir que leurs aspirations politiques et la recherche du pouvoir.

Vous pouvez suivre la carrière de Daniel Forest en Images, il est partout, partout, partout,
sur la majorité des conseils d'administration et des tournois de golf,

c'est à se demander si Daniel n'a pas obtenu du bon-dieu lui-même le don de BILOCATION!











































vendredi 12 février 2016

Pourquoi le football américain va disparaître...

Pourquoi le football américain est appelé à disparaître

c'est simple: la créativité;

-inscrit dans la génétique humaine,  cette composante  est indispensable pour la survie et  l'évolution des humains.

Quand les stratèges américains ont remplacé le rugby par le football américain ils ont éliminé (volontairement  ou pas)les composantes d'une liberté d'expression(psycho-motrice) que l'on trouve dans la majorité des sports d'équipe particulièrement présente dans le soccer, le hockey, le basket.

Cependant, sur le plan politique et social le football américain trouve son utilité pédagogique dans une société d'accueil conservatrice qui craint d'être assimilée.

Le football américain  tout en demeurant ludique(mais non créatif) se résume à une activité qui réprime l'expression créative et  valorise la loyauté à tout prix envers une autorité suprême.

Malgré tout le football américain est appelé à disparaître, car il ne réussira pas à se financer, en dépit des sommes astronomiques investies dans les institutions d'enseignement.

C'est la loi naturelle de l'évolution de la créativité.


Texas college turns football field into farm
By Linda Stewart Ball
Associated Press / April 30, 2011      
                               DALLAS—In Texas, where football fields are hallowed ground, the state's oldest historically black college is planting the seeds for community change between its fading goalposts.                
Yellow and purple onions, beans and strawberries are sprouting from rows of dark, rich earth where visiting teams once clashed with the Paul Quinn College Tigers.
The idea of turning the once-weedy football field into a student-run, 2-acre urban farm has given the struggling college an unlikely bond with Yale University, and has grown into a project that experts say feeds a growing interest among U.S. students about their food sources.
"We loved the irony of it, from football field to farm," said Amy Chen, project manager for PepsiCo's Food for Good initiative, which is partnering with Paul Quinn and providing some business and agricultural expertise. "Gridiron to garden, it's a little sacrilegious in Texas."
In a nod to the state's favorite sport, some of the yield is being sold to the company that runs concessions at Cowboys Stadium, the billion-dollar home of the Dallas Cowboys. But an equal amount of Paul Quinn's produce is being given to nonprofit groups that feed the hungry -- a form of tithe from the 139-year-old college that is affiliated with the African Methodist Episcopal Church.
"This is not about turning kids into farmers," Paul Quinn President Michael Sorrell said recently while standing in the just-planted field, the muffled sound of cars zooming past on a nearby freeway. "We want to teach our students to solve problems that face our community."
As Sorrell saw it, the problem was grocers telling him they didn't want to invest in the underserved southern Dallas neighborhood where Paul Quinn is located. Angered by the snub, Sorrell came up with the idea for an urban school farm and contacted The Sustainable Food Project at Yale, which has operated a near-acre, mini-campus farm since 2003.
Last summer, Yale gave Paul Quinn a crash course on organic agriculture and running educational programs that emphasize the importance of healthy food grown in an environmentally friendly way. Now the school of about 200 students, which lost most of its enrollment during an ongoing accreditation dispute, has a special relationship with the Yale program that one of its organizers says gets about 10 inquiries a week from other schools interesting in starting similar programs.
Paul Quinn is one of the few Yale has mentored.
"They've got such a great story," said Jacqueline Lewin, outreach coordinator for the Yale project.
As a way of thanking Yale, some Paul Quinn students recently traveled to New Haven, Conn., to help restore community gardens in underserved neighborhoods there, said Elizabeth Wattley, Paul Quinn's service learning director, which oversees the farm.
Eventually, the college wants to open its own grocery store, said Sorrell, who cut the $600,000-a-year football program not long after he was named president in 2007. By fall, the school hopes to create a farmers market on its outdoor recreational basketball courts along the road leading into the campus.
Among the roughly 2,200 pounds of fruits and vegetables produced in the Food for Good Farm program's first two growing seasons, some went to the school's cafeteria and some to area restaurants and food service companies, Wattley said. About 300 pounds -- from arugula and baby romaine to rosemary and sage -- went to Legends Hospitality Management, the concessions provider at Cowboys Stadium.
Orazio LaManna, the lead chef for the stadium, said about 10 members of his staff helped plant tomatoes at Paul Quinn during spring break.
"Everything in this garden we'll utilize," LaManna said, explaining that the field will supply about 10 percent of their produce needs.
Parts of the campus farm are set aside for research and hands-on use in science courses. Paul Quinn students are also required to take a course in social entrepreneurship, and Sorrell wants them to understand the importance of healthy eating.
The message wasn't lost on 21-year-old biology major Lamar Nicholas of New Orleans. He was one of about 10 Paul Quinn students who volunteered in New Haven, and he said the farm has introduced him to several new foods, including squash and arugula.
"I still eat meat but I do eat more greens now," said Nicholas, the assistant farm manager.
Chen said she's watched student confidence soar on the campus farm as students become experts on herbs, experiment with more exotic vegetables and extol the benefits of such foods to others.
"They see themselves as change agents and that's having a much broader impact than the farm itself," Chen said.

mercredi 10 février 2016

L'on a tu besoin d'Un patrimoine violent!



 Alors que Patrimoine Québec dépense des centaines de milliers de $$ pour mousser l'image du hockey afin de lui donner le statut patrimonial immatériel des québécois,

la LNH et les associations de hockey nous font la démonstration éloquente que nous risquons de passer pour des tartes. Imaginez Philippe Couillard, et j'ose pas imaginer un Bernard Drainville(quand Péladeau se sera fait pousser en bas de son vélo au point de ne plus pouvoir se relever)
comme premiers ministres annoncer en grand pompe que le hockey est le sport du patrimoine immatériel des québécois!

Et quelle sera la réaction des observateurs du monde entier quand ils verront des scènes comme celles-ci!




  • Des accusations criminelles contre un jeune joueur de hockey

Des accusations criminelles contre un jeune joueur de hockey  auteur Maxime Brindelle 
          
CRÉDIT PHOTO: LA PRESSE CANADIENNE
Un jeune joueur de hockey de 17 ans fera face à des accusations criminelles relativement à un coup porté lors d'un match disputé en novembre dernier à Stittsville, près d'Ottawa.
L'adolescent aurait servi une violente mise en échec à un adversaire, envoyant ce dernier à l'hôpital.
Des accusations d'agression armée et de voies de fait causant des lésions ont été déposées contre lui.
Le dépôt d'accusations criminelles contre des joueurs est plutôt rare, mais dans ce cas-ci, l'accusé aurait dépassé les limites de l'acceptable selon les autorités.





Donald Brashear au palais de justice de Québec mardi.Donald Brashear au palais de justice de Québec mardi.  Photo :  ICI Radio-Canada
L'ex-dure à cuire de la Ligue nationale de hockey, Donald Brashear, subit un procès civil au palais de justice de Québec pour avoir asséné un violent coup de poing à un adversaire. Le hockeyeur fait face à une poursuite de 350 000 $.
Un texte de Yannick Bergeron

Donald Brashear a frappé un joueur d'une équipe de Trois-Rivières, Éric Labelle, dans le stationnement de l'aréna de Rivière-du-Loup, après un match éliminatoire de la Ligue nord-américaine de hockey (LNAH), en mars 2011.
Le joueur de hockey de 44 ans a été reconnu coupable de voies de fait simples pour ce geste et a été condamné à une probation de 18 mois en plus de devoir verser un don de 6000 $.
La victime lui réclame maintenant des dommages compensatoires pour les pertes de revenu, dont il tient Brashear responsable.
Dans un témoignage parfois émotif, Éric Labelle a expliqué n'avoir jamais rejoué au hockey depuis les événements. Il a subi une commotion cérébrale qui lui a occasionné des maux de tête, des étourdissements et des pertes de mémoire.
L'homme originaire de l'Outaouais fait également valoir qu'il a dû s'absenter de son travail de constable au Parlement canadien pendant plusieurs jours.
Éric Labelle estime que sans cette commotion, il aurait pu continuer pendant une dizaine d'années sa carrière de hockeyeur, qui lui procurait un revenu d'appoint.
Intimidé par Brashear
Éric  Labelle a raconté devant le tribunal qu'il était lui-même un batailleur, mais il a dit n'avoir « jamais mangé un coup comme celui-là ».
Les deux hommes ne se sont jamais affrontés sur la patinoire. Labelle a dit avoir toujours refusé les invitations de son adversaire.
Il a reconnu que la présence de l'ancien homme fort de la LNH l'intimidait. « C'est un des meilleurs bagarreurs de l'histoire du hockey », a lancé l'ex-hockeyeur, lui-même de bonne stature.
Donald Brashear, qui est représenté par Me Jean-François Bertrand, pourrait témoigner plus tard cette semaine.


vendredi 5 février 2016

Un léche-derrière culturel immatériel

C'est quoi un  l'éche-derrière culturel immatériel:


Cette activité consiste à poser des gestes et adopter un comportement utile  auprès d'un groupe afin d'obtenir un avantage politique dans un milieu donné.

Le léche-derrière est une personne qui s'adonne à cette activité pour faire avancer son projet personnel et celui de son organisation politique.

C'est une forme de prostitution mais de niveau culturel immatériel. Pas besoin de préservatifs.

Pour s'adonner à cette activité il faut tout de même avoir un bon degré de connaissances sur le groupe que l'on cherche à séduire.(crosser)

Je vous soumet deux exemples de l'écheurs professionnels  dans le domaine culturel immatériel


Le cas de MARCO RUBIO

Marco est candidat aux présidentielles américaines pour le parti Républicain, il s'affiche comme un authentique américain de naissance malgré son sang  cubain qui coule dans ses veines.


Pour convaincre les électeurs américains de voter pour lui il doit soigner son image en double à cause justement de son passé ethnique .

Marco est né aux USA, il a étudié aux USA, il a passé par l'école , le lieu de formation académique mais aussi le lieu de formation à la culture et l'identité citoyenne.

Marco a compris rapidement comment  il devait se comporter pour séduire la classe au pouvoir  et quelles étaient les attentes de cette classe dominante et surtout qu'elle était l'identité immatérielle que cette classe valorisait.

Je laisse les images parler:







L'establishment Républicain aimerait bien que Marco soit leur homme contre Clinton, il est le poster-boy parfait pour le vote hispanique. Et Marco a tout fait pour s'intégrer à la culture américaine immatérielle.  Une prostitué en veston-cravate.



Voici un deuxième cas de prostitution allégué:
Le chef de la Coalition Avenir Québec
Francois Legault




Voici le restaurant de poutine le plus vieux de joliette.


Il est tellement apprécié par les amateurs de la région qu'il est devenu avec le temps un element culturel immatériel! ( c'est vrai que la poutine et la pizza aussi sont les plus bonnes de la région de Lanaudière)

Lors des dernières élections provinciales le candidat Legaut  a été obligé de faire un arrêt-déjeuner ici et il y avait invité son autobus au complet!
Non pas qu'il prone de manger des patates sur sa plateforme politique.
 


Francois Legault, chef de la Coalition Avenir Québec (CAQ), est venu rencontrer la population de Joliette, le temps d'un diner fort animé, au restaurant Chez Henri Patate. Accompagné d'une dizaine de ses députées féminines, question de souligner la Journée internationale de la femme en ce 8 mars, il a officiellement présenté sa candidate pour la circonscription de Joliette, Denise Larouche.



Je ne sais pas si monsieur Legault mange vraiment de la poutine.
Chose certaine les politiciens sont les premiers a reconnaître les elements culturels immatériels d'une communauté et ils ne se privent pas d'exploiter les émotions de ces derniers pour gagner un vote!

Si Marco Rubio entre à la maison blanche, ce qui n'est pas exclu- la NFL pourra-telle retrouver sa culture de l'Omerta quant aux dangers réels des commotions cérébrales dans la pratique du sport national des américains.
(exposé sous l'administration Obama)

La morale de l'histoire, méfiez-vous des politiciens qui portent un intérêt à la culture immatérielle


jeudi 4 février 2016

Il punto di SVOLTA

IL PUNTO DI SVOLTA

traduction:  le point de bascule

Les communautés culturelles du Québec devront-elles identifier aussi leur patrimoine culturel  immatériel


E' NATO L'ASCOLI PICCHIO MONTREAL CLUB!

Lunedì 25 gennaio 2016: nel suo piccolo, una data storica per tifosi, sostenitori, simpatizzanti e amici dell'Ascoli Picchio 1898 nel mondo. A Montreal, a casa del Presidente e patron dell'Ascoli, Dott. Francesco Bellini e gentile consorte Marisa, è nato ufficialmente il primo "Ascoli Picchio Montreal Club" all'estero. Un orgoglio e un onore che intendiamo ...condividere con tutti voi, ovunque siate. Convinti e speranzosi che il neo-Club bianconero ed i suoi futuri membri possano rivivere nuovamente i successi del passato, a partire da oggi! Nela foto, da sinistra a destra, i soci fondatori dell'Ascoli Picchio Montreal Club posano in compagnia di Marisa e Francesco Bellini (Presidente dell'Ascoli Picchio 1898): Emidio Buonamici (Vicepresidente), Marco Luciani Castiglia (Presidente) e Stefano Capriotti (Segretario). Forza Ascoli e Forza Picchio!



 

Mon opinion

Le patrimoine immatériel est formé de pratiques et savoir-faire transmis de génération en génération. Trois pratiques ancestrales ont à ce jour été officiellement désignées par le ministre de la Culture en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel : le chant de gorge inuit, le canot à glace et la veillée de danse.

Une désignation du hockey sur glace permettrait de valoriser l’identité des gens d’ici autour d’une activité culturelle et sportive développée sur le territoire du Québec et pratiquée par des personnes de tous les âges et toutes les origines.

Le Conseil québécois du patrimoine vivant (CQPV) souhaite recueillir l'avis des personnes intéressées par le hockey sur la question de la reconnaissance de ce sport comme patrimoine immatériel.

* 1. Êtes-vous favorable à la désignation par la ministre de la Culture de la pratique du hockey sur glace comme patrimoine immatériel du Québec ?

* 2. Dans quelle région se situe votre principale résidence?

* 3. Quel âge avez-vous ?

* 4. Sexe:




mardi 2 février 2016

Comment limiter la pratique du soccer $


L’aréna de Joliette et le centre de soccer intérieur, le ton se durcit article de 2011 depuis ( l'aréna a été rénovée)

et le centre de soccer est en construction.


Les intervenants du monde du sport joliettain réclament un nouvel aréna depuis plusieurs années. Le centre intérieur de soccer aussi dispose d’ardents défenseurs. Pourtant, rien n’a été annoncé. Le ton se durcit.

Michaël Brind’Amour n’a pas caché sa déception dans ce dossier.
Invité au tournoi de hockey novice-atome de l’Association du hockey mineur de Joliette-Crabtree, le président d’honneur Michaël Brind’Amour n’a pas caché sa déception dans ce dossier. « C’est difficile à croire qu’aucun projet concret n’ait été annoncé. Ce n’est pas d’hier que nous réclamons un tel projet. C’était à l’ordre du jour quand mon père œuvrait dans le hockey mineur. »
Dernièrement, L’Action apprenait de la bouche de Stephen Cabana que le Groupe Thibault Rhéaume et associés se retirait du projet d’un centre multisport à Joliette. « Nous ne pouvons plus attendre et nous n’avons eu aucune nouvelle de la Ville de Joliette. Nous sommes évidemment déçus. Nous avions repris espoir suite à notre conversation avec monsieur Rochon de la Commission scolaire des Samares », déclarait-il. Monsieur Cabana n’a pas voulu aller plus loin dans ses propos, laissant toutefois sentir sa déception dans l’immobilisme de la Ville de Joliette

Le soccer laissé pour compte ?
Au cours du tournoi de soccer de Joliette, l’été dernier, les espoirs étaient présents. Les organisateurs et entraîneurs avaient beaucoup d’arguments favorables pour l’érection d’un centre intérieur de soccer. Quelques semaines plus tard, les propos sont plus acerbes. « Je n’en reviens pas que le Collège Saint-Jean-Vianney dispose de trois terrains synthétiques extérieurs, un terrain de soccer intérieur, un aréna et nous absolument rien de tout cela. Il faut que cela arrête, la guerre de clocher entre Notre-Dame-des-Prairies, Saint-Charles-Borromée et Joliette. Ceux qui en souffrent, ce sont les parents, les enfants et nos commerçants. Combien de personnes de notre région vont louer des surfaces de jeu à Rosemère, Terrebonne, Laval, Trois-Rivières ou Saint-Jean-Vianney ? Ce sont des frais supplémentaires, des montants d’argent qui pourraient êtres dépensé ici, si nous avions un centre sportif multifonctionnel. Dans ce centre, il pourrait y avoir du football, de baseball, du soccer, du golf, des expositions, et j'en passe... Plus il y aura des personnes qui utiliseront ce centre, à long terme, plus il y aura des gens en santé, c’est à dire moins de dépense au niveau de la santé. Est-ce que nous aurons un centre avant 2050 ? », fulminait François Pelland.


reste maintenant a s'assurer que le soccer ne devienne aussi dispendieux a pratiquer que le hockey autrement ce sera comme le hockey il faudra le financer par la municipalité ou il sera pratiqué uniquement par la haute classe moyenne.


sur le site internet du Conseil vous pouvez participer au sondage suivant:

Mon opinion

Le patrimoine immatériel est formé de pratiques et savoir-faire transmis de génération en génération. Trois pratiques ancestrales ont à ce jour été officiellement désignées par le ministre de la Culture en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel : le chant de gorge inuit, le canot à glace et la veillée de danse.

Une désignation du hockey sur glace permettrait de valoriser l’identité des gens d’ici autour d’une activité culturelle et sportive développée sur le territoire du Québec et pratiquée par des personnes de tous les âges et toutes les origines.

Le Conseil québécois du patrimoine vivant (CQPV) souhaite recueillir l'avis des personnes intéressées par le hockey sur la question de la reconnaissance de ce sport comme patrimoine immatériel.

* 1. Êtes-vous favorable à la désignation par la ministre de la Culture de la pratique du hockey sur glace comme patrimoine immatériel du Québec ?

* 2. Dans quelle région se situe votre principale résidence?

* 3. Quel âge avez-vous ?

* 4. Sexe: