dimanche 27 décembre 2015

Le jeu de l'intégration

Le jeu de l'Intégration

Joueurs recherchés

 
 

Monsieur Juan Carlos Murrugarra Cerna  du Département de sociologie  Faculté des arts et des sciences a présenté en 2014 une thèse (sociologie)à la Faculté des arts et des sciences  en vue de l’obtention du grade de Ph. D.  sous le titre suivant:

Immigration et sport.
L’impact de la pratique du soccer amateur sur l’intégration sociale des minorités à Montréal

voici les conclusions du chercheur:



CONCLUSION 

 

Face à cette nouvelle reconfiguration de l’espace social québécois, infléchi au cours 
des dernières années par l’arrivée massive d’immigrants issus des communautés culturelles 
et par leurs revendications dans l’espace public, la logique sociale à l’oeuvre dans ce 
nouveau contexte multiculturel reste, malgré des avancements inédits comme les 
accommodements raisonnables, dans la perspective institutionnelle d’un État tributaire 
d’une communauté francophone, d’une histoire régionale, d’une culture commune, d’une 
tradition, etc. L’État en tant que système politique y agit comme l’un des acteurs principaux 
dans la légitimation d’un rapport de pouvoir qui transfigure la relation entre dominants et 
dominés et, par le fait même, demeure assujetti à la perspective du groupe majoritaire 
représenté par les « Québécois de souche », ce qui conditionne son positionnement à 
l’égard des différentes communautés du Québec, surtout des minorités (Arcand, 2003). 

Les rapports sociaux entre ces collectivités aboutissent à la formation de la catégorie 
politique « minorité visible », qui est en effet politiquement énoncée et socialement utilisée, 
pour étiqueter les communautés culturelles en faisant appel à des critères qui les éloignent 
du paradigme ethnico-culturel de la nation québécoise. Voilà la toile de fond sur laquelle se 
déroule la trame urbaine du rapport « dramatique » entre les différents groupes 
ethniquement distingués à Montréal, et dans laquelle la question de l’intégration sociale 
des minorités ethniques se révèle un aspect important et complexe du vivre ensemble. Ce 
sont là divers éléments qu’il faut considérer lorsqu’on veut rendre compte de la situation 
avec laquelle l’immigrant doit composer du fait que l’intégration repose sur la 
responsabilité qui lui incombe selon le principe d’autonomie, ce qui décrit le contexte 
historique et juridique de ce scénario social de contrôle coercitif qui encadre les définitions 
en matière d’adaptation sociale. 

Il apparaît alors nécessaire de repenser l’intégration pour bien saisir les enjeux 
culturels et politiques liés à cette question. Et c’est par cette démarche que des liens 
insoupçonnés entre ce phénomène et des concepts comme ceux d’habitus et d’identité 



révèlent leur utilité pour jeter un regard objectivant sur cette réalité, ce qui nous expose à la 
complexité d’un problème situé bien au-delà d’une connaissance substantielle, et qui nous 
permet d’ailleurs d’aborder la question de l’intégration dans le vrai sens du concept. Selon 
la perspective théorique de cette recherche, l’intégration s’inscrit ainsi dans la 
problématique de l’apprendre par corps orchestré par l’habitus. 

Sur la base d’une étude ethnographique centrée sur les membres d’une ligue amateur 
de soccer mixte pour adultes, l’analyse de leur « style de jeu » et de la représentation qu’ils 
se font de leurs propres trajectoires biographiques suggère que toute expérience sociale liée 
directement ou tangentiellement à l’intégration de l’individu à un groupe quelconque passe 
par la compréhension par corps, et que l’apprentissage progressif s’y articule comme la 
condition de toute modification possible de l’habitus. Cela est d’autant plus nécessaire 
lorsque la situation requiert l’adaptation de l’individu à la société dans laquelle il évolue. 
Les corps individuels des participants (joueurs, supporteurs, arbitres, dirigeants) deviennent 
le vecteur par excellence de l’acculturation à l’appui de la cohésion sociale. L’individu fait 
corps avec l’espace en intériorisant l’ordre établi, objectivé dans les règles de jeu, les 
habitudes de vie, les croyances et les attentes partagées, les ressources, les artefacts, la 
structure institutionnelle, les valeurs de désintéressement et de responsabilité, etc., à travers 
l’activité sportive amateur, donnant d’ailleurs sens à une participation sociale durable qui 
reste subjectivement activée, du fait que la ligue de soccer en tant qu’association représente 
une forme du rapport entre l’individu et la société globale, en vertu duquel l’illusio est la 
condition de l’adhésion à des principes pratiques qui facilitent l’adéquation entre les 
espérances subjectives et les exigences objectives à l’intérieur d’un univers social (la ligue 
Soccer66) conditionné par des règles institutionnelles et des régularités résultant des moeurs 
du groupe (l’entraide, le pacte symbolique de non-agression, le partage, la camaraderie, la 
politesse, etc.). 

Le soccer amateur en tant qu’activité récréative étant moins axé sur le culte de la 
performance, il rend possible l’articulation d’une modalité d’incorporation où le sens 
pratique se double d’une certaine réflexivité nécessaire et suffisante pour la pratique. Le 
processus auquel renvoie ce mode d’apprentissage, qui est en même temps formateur de 



dispositions morales et mentales, produit des compétences cognitives, sociales et motrices 
qui s’impriment de manière formelle et informelle dans le corps et la pensée par la 
manifestation spontanée de « jugements d’évaluation et d’appréciation », sous l’emprise du 
regard que les participants portent sur le joueur (Faure, 2000, p. 262). 

Nous nous trouvons ainsi face à un microcosme social concordant avec le modèle 
théorique de Bourdieu. La croyance liée à la passion du jeu (la doxa) et les dispositions 
liées à une manière d’être socialement souhaitable (l’ethos) se sont rapidement révélées 
comme des présupposées situées au principe de l’engagement dans le jeu sous l’effet de 
l’illusio en tant qu’investissement viscéral dans le jeu et principe de perception (Costey, 
2005). Cette ligue organisée par des Latinos est un cas de figure intéressant permettant à 
ceux qui, sans le savoir, adoptant une posture ethnocentrique, de mieux connaître ces 
communautés, les minorités visibles en situation. 

Par l’orchestration des habitus individuels, simples variations structurales de l’habitus 
de groupe, les corps se soudent et fusionnent en suivant le rythme de l’effort, du défi et de 
la compétition faisant des sentiments et des émotions les catalyseurs de l’identité sociale 
qui prend forme par les systèmes de schèmes de perception et d’appréciation organisés eux-
mêmes par l’éthique de la vertu en tant que principe pratique d’action et d’appréciation, ce 
qui prédispose les individus à la solidarité dont l’amitié est le sens concret. Ce mouvement 
intégrateur est par exemple observable dans la coordination harmonieuse des passes et les 
comportements en général (l’hexis) qui font de la pratique un spectacle sportif attirant et 
agréable pour les joueurs et les supporteurs, par l’effet de la synchronisation rythmique qui 
se dégage de l’interaction, en restant toujours dans la perspective de l’amusement qui 
permet aux adeptes de faire corps avec le groupe (l’esprit de corps fondé sur l’illusio) 
comme un fait social total sous l’égide d’une atmosphère chaleureuse et complaisante, bref 
conviviale. On est là devant le phénomène de conjonction des habitus isomorphes en 
présence, s’articulant au processus général de création de cohésion de groupe (tous les 
acteurs entremêlés). 



Dans cette conformation d’une manière d’être, l’intégration des minorités par le 
sport relève en fait de l’intégration par corps sublimée par un ensemble de sentiments et 
connaissances commandé par corps et pour les corps en vertu d’une pratique qui favorise le 
déploiement de liens affectifs (l’amitié, maîtriser le français en tant que langue officielle 
comme moyen de communication légitime entre les différentes communautés, exprimer des 
sentiments adéquats, maîtriser le geste sportif par des techniques de corps efficaces, dont le 
style de jeu édulcoré est le cas par excellence d’un mode symbolique de respect et 
d’échange réciproques nécessaires à l’articulation de l’esprit de corps, etc.). Le spectacle 
sportif se structure comme une action spontanée qui constitue en fait une image fabriquée 
conforme à un ordre symbolique et moral. 

À la lumière de l’expérience sportive de ces adeptes du soccer amateur, la démarche 
sociologique nous a permis de constater que l’intégration renvoie à l’autonomie et au choix 
individuel, donc aux capacités du corps. À travers la figure du goût de la victoire qui est 
très caractéristique de la pratique sportive et de tout projet migratoire (on peut penser 
l’intégration dans la perspective du rêve américain, par exemple), s’impose la vision du 
monde générale de nos sociétés occidentales, par la force contraignante de ses valeurs 
civilisatrices (le fair-play, l’autonomie, l’égalité, etc.) auxquelles on doit d’abord 
connaissance, puis reconnaissance, ce qui renvoie à un processus évolutif par lequel 
s’instaure l’adhésion à la société, et par là l’obéissance à l’autorité sous toutes ses formes et 
représentations. Ainsi, le « succès » de l’intégration découlerait apparemment de 
l’ambivalence d’un jeu entre l’acceptation et l’abandon, l’incorporation et le détachement, 
l’espoir et la résignation, la satisfaction et le ressentiment, etc., ce qui ne fait que masquer 
les rapports sociaux inégalitaires qui gouvernent notre vie en société. 

Dans ce cadre, l’intégration de l’immigrant apparaît comme un acte stratégique et 
synthétique de « conformisme » et de « défense » (Manço, 1999), mais aussi comme une 
« pratique de concertation » (Bourdieu, 1980), comme le fruit du processus de socialisation 
qui permet aux individus de devenir des membres actifs de la société à travers des pratiques 
légitimes ou peu légitimes. 



Les loisirs constituent un aspect important, mais non déterminant, de l’intégration 
sociale. Le soccer comme activité de loisirs « mimétique », « dé-routinisante » et « dé-
contrôlante » intervient dans la vie de l’individu en parallèle à d’autres sphères, comme le 
travail ou l’école, qui sont peut-être plus importants en termes de reconnaissance et de 
statut social, mais pas nécessairement en termes de contenu et de signification de l’action. 

À cet égard, il faudrait compléter l’approche qualitative de notre recherche par des 
études quantitatives afin de construire un échantillon représentatif, et de connaître ainsi la 
tendance générale des significations de la pratique du soccer amateur à Montréal en lien 
avec la représentation sociale qu’on se fait de l’impact de la pratique sur l’intégration. Du 
même coup, il serait convenable de se demander s’il existe une différence de comportement 
entre les hommes et les femmes associée par exemple aux divisions de genre comme un fait 
consubstantiel à la soumission : est-ce que le soccer mixte canalise, à l’insu des 
participants, un système de montage corporel débiteur de la gymnastique de la domination 
masculine qui se manifeste partout traditionnellement en tant qu’enjeu politique de la 
conception sociale du corps? Quels sont les fondements symboliques des rapports sociaux 
de sexe dans la ligue? Est-ce que des inégalités structurelles se reproduisent subtilement 
dans la communauté de participants? Il est aussi possible d’utiliser l’analyse des réseaux 
pour identifier les noeuds, et déterminer quantitativement la taille du réseau d’un individu 
ainsi que les liens et les degrés de densité et de cohésion qui donnent forme à une structure 
susceptible d’être soumise à l’analyse pour dégager l’influence ou non de celle-ci sur le 
comportement individuel, et ce, selon le contexte. Par cette démarche, on pourrait enfin 
envisager la généralisation des résultats. 

Le soccer est à notre sens, et à la lumière de notre analyse, un moyen d’intégration 
sociale, mais nous ne sommes pas en mesure de déterminer s’il l’est au même titre que 
l’école ou le travail. Cependant, en ce qui a trait à la signification de la pratique chez nos 
répondants, notre travail nous permet de soutenir que, le soccer étant passion, il fonctionne 
comme vecteur de matérialisation du « bien-être », et d’articulation de l’« identité sociale » 
qu’on actualise par corps au sein d’une société dite multiethnique. Ces manifestations 
concourent à donner forme à l’attitude nécessaire au vivre ensemble, celle d’un individu 



prudent, juste, actif, respectueux, responsable, l’individu faisant état de la réverbération du 
social qui agit sur lui par son esprit coopératif et solidaire, son sentiment d’appartenance, 
etc., et plus généralement, par l’esprit de corps qui marque le rythme de l’actualisation 
d’une identité socialement construite en vertu de laquelle l’habitus s’exprime dans ce 
travail individuel d’intériorisation de l’extériorisation qui explique l’autonomie du sujet. 

La force de l’habitus en contexte migratoire réside en dernière instance sur sa 
capacité d’invention comme manière de s’adapter à un univers social donné (le sous-champ 
sportif amateur, l’école, une communauté multiethnique, etc.), et non sur la vertu qu’on lui 
reconnaît normalement, faisant de l’habitus la clé de voûte de la reproduction sociale. 
L’habitus rend ainsi nécessairement compte de la malléabilité de l’esprit et du corps, 
difficile à saisir du fait que l’immigrant se trouve inséré dans la logique de l’évidence, dans 
un contexte social et culturel différent de celui de son pays d’origine. Cette trajectoire se 
dessine sous le coup du mimétisme auquel l’immigrant est confronté comme une manière 
de conjuguer son passé aux exigences sociales du présent pour s’adapter à la société 
d’accueil, c’est-à-dire par la transformation conditionnelle de son habitus, l’apprentissage 
étant le vecteur de modulation du décalage entre les espérances individuelles et les enjeux 
de l’intégration. À cet effet, la pratique sportive constitue pour l’immigrant une manière 
d’actualiser ses aspirations vis-à-vis d’une intégration plus harmonieuse, ce qui prend la 
forme d’un « équilibre dynamique » consubstantiel à la réalisation de soi par la force de 
l’apprentissage progressif de l’autonomie comme condition ultime de la transmutation 
sélective et durable du corps. Force est de conclure que cela s’impose comme un processus 
de « conversion » nécessaire à l’incorporation des structures objectives de l’espace social 
dans lequel on s’insère. L’activité sportive en tant qu’espace d’encadrement favorise ce 
processus, et agit par ce fait même comme une véritable instigatrice d’un travail personnel, 
celui d’une formation morale informée par les valeurs de la société d’accueil. 

Sur la base de l’analyse exposée précédemment, nous pensons avoir contribué à 
l’avancement des connaissances dans le domaine de l’intégration sociale des minorités sous 
l’angle des sports et de la théorie de la pratique. Nous avons ainsi poussé la réflexion sur 
l’habitus pour interroger la manière dont s’engendre le sens pratique au sein d’un jeu de 



relations objectives formelles et informelles, non réductibles aux programmes et modèles 
pédagogiques du système scolaire. On l’a vu, c’est par l’expérience du monde, en fonction 
de sa trajectoire sociale, que l’individu acquiert les compétences requises pour participer à 
ce sous-champ que constitue le soccer amateur, sous le signe de l’apprentissage par corps 
qui donne forme et sens à toute expérience. C’est par l’analyse de l’acte sportif que nous 
avons élaboré une sociologie de la connaissance pratique pour enfin faire l’esquisse du 
sens pratique en acte dans ce microcosme social que nous concevons, à l’aide des notions 
que nous employons, comme une figure de la société. Enrichir la perspective théorique 
bourdieusienne à propos de l’intégration et du sport vise une meilleure compréhension du 
processus par lequel le sport permet à la société de prendre corps. 

En bref, le travail de théorisation développé ici constitue une manière d’appréhender 
l’histoire individuelle de ces sujets immigrants ayant le même goût pour le soccer, et 
contribue par là à étoffer la cohésion sociale au gré d’une histoire collective en tant 
qu’intériorisation de l’extériorisation. Pour cela, nous souhaitons conclure notre thèse en 
présentant l’une de nos notes de terrain qui nous semble très révélatrice de l’intégration 
sociale à l’oeuvre dans une pratique sportive, le soccer, mais pouvant plus largement 
éclairer l’espace social que représente une ville comme Montréal, voire la société 
québécoise : 

Je suis au milieu du tournoi d’été. Je suis à l’extérieur sur le terrain de jeu. Il pleut 
beaucoup ce soir. C’est la première fois que cela m’arrive depuis que j’ai commencé 
mon travail d’observation. Dans un premier temps, je ne savais pas comment allaient 
se dérouler les parties. Puis, les parties se sont finalement déroulées sous l’effet de 
ces mauvaises conditions climatiques. Là, j’ai peu à peu commencé à percevoir dans 
les gestes des joueurs l’abnégation qui traduit leur passion soccer. Ainsi, la sueur 
s’amalgame à la pluie sous les traits d’une cadence rythmique agréable. L’esthétique 
du jeu confère à cette construction cognitive du geste une érudition maîtrisée par 
corps, et objectivée par l’adresse (tout se construit sur-le-champ). La solidarité des 
corps prend tout son sens par l’entraide qui renvoie à cette coopération instantanée 
qui est à mon sens possible par la concertation des habitus isomorphes observable 
dans le « style de jeu » plus ou moins similaire des joueurs d’une même équipe. Cela 
se manifeste, on le voit, par les émotions qui impulsent la corporéité des pratiquants 
en concourant à donner à la pratique un visage humain (on crie ou on lève les bras 
pour demander la balle, on regrette une mauvaise passe, on se serre dans les bras 
quand on gagne, on se met en colère quand on perd, on se serre la main quand on 



reconnaît l’ordre symbolique de la ligue, etc.). Tout à coup, le ballon est sorti du 
terrain de jeu par la force d’un coup qui l’oriente dans ce cas hors du terrain, en 
suivant sa trajectoire par les airs, pour finalement tomber en arrière du but juste 
devant moi. Ému par la situation, la solidarité s’est rapidement installée dès que j’ai 
décidé de taper du pied dans le ballon en direction du joueur qui venait rapidement 
pour le récupérer. Comme ça, je pense que je lui ai épargné un peu de travail. Il m’a 
regardé et il m’a dit « gracias », c’est-à-dire « merci » en espagnol. Ensuite, je lui ai 
répondu « de nada » (« de rien »). Il est retourné sur le terrain et la partie a repris. 
Mais je trouve cette situation très significative, car nous n’avions jusqu’alors jamais 
échangé même un mot. À mon avis, et à la lumière de l’évidence, la situation est 
construite par l’habitus en tant que système de schèmes structurant et structuré qui 
donne ici forme aux rapports ethniques découlant d’une représentation sociale 
construite par la société montréalaise, et qui agit sur les individus en présence, mais 
sous les traits de la politesse et de la camaraderie entendues, au sens de la ligue, 
comme la bonne manière. À l’égard de ce garçon qui était à mes yeux visiblement 
Péruvien, avec qui je venais d’interagir en tant que sujet péruvien, je me suis dit : En 
étant compris par lui, je l’ai compris. Par la situation, là j’ai tout compris…! (Notes 
de terrain, Laval, le 28 juin 2013). 
 
 lire la thèse complète lien:
 
https://papyrus.bib.umontreal.ca/.../Murrugarra%20Cerna_Juan%20Carlos

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