samedi 27 août 2016

la loi du B S

Ne pas avoir PEUR des conséquences
Courir après les problèmes
Ne s'arrêter a rien
La loi du B S

Elle nous interpelle comme un soleil levant
Elle nous met au défi comme un enfant


S'arrêter ou aller de l'avant
Combien de questions et de temps
Perdus
Et combien le doute prends le dessus

Heureusement la loi du B S
prime chez ceux qui bougent
ceux et celles qui voyagent au bout
de leurs rêves et au dela

C'est ca la loi du Bon Sens!

je vous présente des images et vous en ferez a votre guise pour le reste votre imagination
vous guidera


La Plaine


La Plaine,  a l'entrée du grand parc et terrains de baseball et soccer une GROSSE affiche

WIFI disponible
et

Une INTERDICTION
d'avancer avec son AUTOMOBILE!



Terrebonne, Laplaine

bon c'est pas la meilleure chose a faire
lancer ses godasses
mais

saviez-vous que
UN ENVIRONNEMENT MAL REGLEMENTÉ
ET LA OU L'ON N'APPLIQUE PAS LES REGLEMENTS
ENCOURAGE
D'AVANTAGE A LA DÉLINQUENCE!






jeudi 25 août 2016

La preuve

Vous vouliez la preuve
que c'est par le sport que l'on s'intègre.

Que l'on se FUSIONNE, car faites pas l'erreur de croire que s'intégrer est un chemin dans un sens UNIQUE...y a pas de CUL de SAC mon pot dans l'intègration  cela se fait ensembles dans un chemin rocheux et ton esprit doit demeurer alerte et vif autrement tu ne pourra pas faire partie du voyage!

Une amie m'a fait part d'un article paru en 2011 dans la revue Humanité Québécoise



Pour la remercier de ce lien je lui fait un peu de pub humblement comme si ce blogue était lu par des millions de fans, non l'important est qu'il soit lu par des gens fins et avec un grand bon cœur.

Mais pas trop fins.

Je vous présente Elham Seyed Javad.

Musulmanne originaire d'Iran

Son histoire est formidable, et elle est la PREUVE que l'intégration se fait par le sport
et pas seulement par le soccer, je vous le concède...avec peine



















Je vous invite a aller lire l'article complet a l'adresse suivante:  http://www.romiquirion.com/wp-content/uploads/2011/08/HumQcNo2.pdf




ELHAM a été interviewée par
Johar Hideur
https://www.linkedin.com/in/johar-hideur-a903991b?authType=name&authToken=TikQ&trk=wonton-desktop







attention Vignobles Québécois Masbourien s'en vient!

Je l'appelle Masbourien mais c'est Masbourian en réalité je voulais juste l'insulter amicalement!

L'insulte est une chose que l'on peux utiliser parfois avec les Politiciens et aussi je crois fortement avec des Tawins qui ont une MICRO dans la bouche tous les matins, et ne savent pas quoi en faire pour se rendre intéressants.

Ici la photo et moustache  que  j'ai trouvé sur Pat nous le confirme, il est en manque flagrant d'attention!

Il ne sait pas comment se renverser, par quel bout prendre la chose pour se faire remarquer.

Il est a son Meilleur quand il est FATIGUÉ!

Ce matin vers 6h30 il a réussi a attirer même mon attention a moi, qui écoute la radio poubelle habituellement( ARCAND et co.)

En fait, je pense que Pat serait mieux avec COGÉCO mais il ne le sait pas encore.

Une chance que Radio-Canada ne lui offre pas un Micro et l'envoi sur la ROUTE DES VINS

Bon la je suis Jaloux

Je suis certain qu'il va dire par contre plus de conneries une fois vidé un ver de vin même du vin québécois. ( J'aime le vin québécois, j'ai acheté 3 bouteilles samedi dernier a St-Thomas de Joliette chez les Harnois, anciennement ferme a Tabac!) alors du clame les fafouins...

Alors c'est comment que Pat a attiré mon attention ce matin du 25 août 2016....

Pendant la rubrique SPORTIVE naturellement,



L'impact a fait match NUL hier soir


Alors en bon souteneur Animateur avec le MICRO il demande au chroniqueur sportif comment ca été le match...



de répondre l'animateur: un match nul 1-1



Pat:  encore une nulle...c'est ennuyant comme toujours il a insinué


l'animateur sportif:  Pat ferme ta trappe, tu ne connaît rien au FOOT! tu est un tawin...


Pat: scusez-moi , je suis fatigué ce matin, une chance.... que mon Boss m'envoi sur la Route des Vins!

C'est vrai cette histoire je n'ai pas inventé...

Avis:  attention Vignobles Québécois Masbourien s'en vient!




















lundi 22 août 2016

Tour du monde avec Pinocchio

Faire le tour du monde en voilier… avec sept enfants
Un couple de Lévis et ses sept enfants prendront le large cet été pour vivre une odyssée d'environ cinq ans autour du monde à bord de leur voilier.

Par Mariane Bergeron-Courteaumarianebergeroncourteau@journaldelevis.com

Amoureux de plein air et assoiffés d'aventures, Johanne Gauthier et Marcus Forns rêvent de ce projet depuis fort longtemps. Ils ont acquis en 2013 un voilier à deux mats,
«Ça fait environ trois ans qu'on a pris la décision d'aller de l'avant avec ce projet. On y rêve depuis longtemps. Quand on a fait le grand pas, et qu'on a acheté
Le départ est prévu au début du mois de juillet. La famille se dirigera d'abord en direction des îles Canaries (Espagne) en prenant le temps de visiter les îles portugaises avoisinantes. Ensuite, elle prendra la route vers les Caraïbes, en prévoyant un arrêt aux îles du Cap-Vert. Le groupe explorera par la suite l'Océanie, le golfe du Bengale, le sud de l'Afrique et remontera jusqu'au Québec en longeant le continent américain. Le périple devrait prendre de quatre à six ans.
Ces grands voyageurs auront l'aide de deux équipiers pour la traversée de l'Atlantique.
La famille compte actuellement six enfants, âgés de deux à onze ans. La petite dernière est en route et verra le jour avant le grand départ. Même le fidèle chien de la famille, Brume, sera de la partie.
Voyager avec des enfants est un défi, Johanne Gauthier en convient, mais constitue également une grande force, puisque chacun, dans la mesure de ses capacités, apporte une aide à l'équipage. «On est une bonne équipe. On est plusieurs à bord, et chacun connaît ses tâches lorsque c'est le temps d'effectuer une manœuvre, et ça fonctionne bien», relate-t-elle.
Les parents s'assureront d'accompagner leurs enfants dans leurs apprentissages scolaires durant ces années au large. L'École de la Chanterelle, que fréquente la famille, offre un grand support dans ce projet, indique Johanne Gauthier.
Énorme préparation

Afin de se familiariser à la navigation du ketch et à la vie sur l'eau, la famille de Marcus Forns et Johanne Gauthier a pris part l'été dernier à un voyage de huit semaines vers les Îles-de-la-Madeleine. Le périple s'est déroulé sans accroc, ce qui a confirmé la réalisation de son odyssée autour du monde.
«On n'était pas sûrs de comment ça allait se passer pour les enfants, mais finalement, on est vraiment satisfaits du résultat. Les enfants ont aimé ça. Il y a eu un peu le mal de mer, c'est sûr, mais ça a passé. Ça nous a rassurés, parce qu'il y a des gens qui ont le mal de mer chronique. Si ça avait été le cas, on aurait peut-être hésité un peu», explique en riant la mère de famille.
D'autres préparatifs sont en branle depuis plusieurs années, comme les travaux effectués sur le voilier, l'adaptation à une alimentation végétarienne, puisque la famille devra se nourrir sans avoir accès à un réfrigérateur, l'achat de vêtements qui sèchent rapidement, la diminution du nombre de déchets produits, etc.
«C'est beaucoup de travail et de temps investi. Il y a plusieurs choses à penser, et c'est multiplié par le nombre de personnes. On a bien hâte de partir, il est temps que les préparatifs finissent!», s'exclame-t-elle.
Il est possible de suivre les aventures de la famille de Marcus et Johanne sur leur blogue www.brumeetpinocchio.com ou via leur page Facebook «Brume et Pinocchio autour du monde».
Crédit photo : Courtoisie

dimanche 14 août 2016

SOCCER EMPIRE les nations unies dans la PAIX

de l'impérialisme culturel


Le professeur de politique internationale de l'Université de Toronto, James Eayrs, écrit ceci quand le premier ministre Pierre E. Trudeau qui avait traité d'espion Philippe Rossillon, oeuvrant pour le gouvernement français à la promotion de la langue française au Manitoba :

« Rossillon était directeur d'un comité chargé de protéger et faire la promotion de la langue française à travers le monde. En 1963, il est au Manitoba et son passage sera interprété par le premier ministre Trudeau comme de l'interventionnisme sournois et subreptice. Trudeau accuse la France d'agir de manière anormale et aberrante. Peut-être est-ce une manière anormale d'agir, mais elle n'est pas absurde... » écrit Eayers.
« L'affaire Rossillon est un exemple classique d'une pratique qui se développe de plus en plus dans la politique internationale. Cette pratique est appelée pénétration informelle et elle fait partie de l'éventail de l'impérialisme par la culture. Cette pratique est utilisée autant par les régimes totalitaires que par les démocraties libérales. Ici on peut noter le cas des excentriques Anglais envoyés à l'étranger non pas pour raconter des mensonges sur leur pays (comme le font les communistes) mais pour vanter les mérites culturels, avec l'espoir de convaincre que la culture anglaise est la meilleure.

Les Allemands et les Français le font avec succès aussi. Quelque part entre la méthode communiste et celle du British Council, on retrouve la méthode américaine. Les Américains se sont intéressés tardivement à cet art. Épris d'une idéologie anti-impérialiste, ils ne considéraient pas moral pour une démocratie de s'étaler à l'étranger. L'impérialisme culturel n'était pas plus acceptable. Beaucoup d'Américains, lorsqu'ils entendaient le mot " culture " avaient la réaction de sortir leur revolver.

Ces inhibitions ont été surmontées en réaction à ce qui était perçu comme un danger mortel. En Italie, par exemple, en 1948, à la veille des élections, on pense que si on laisse les choses se dérouler sans monitoring de l'extérieur, l'Italie tombera dans le camp communiste. Le 22 Mars, à un mois des élections, le département d'état, par l'intermédiaire du programme radiophonique Voice of America, diffuse en crescendo une programmation en langue italienne dirigée vers le peuple italien.


ici le drapeau dans une base de plein air dans les Laurentides

je ne sais pas pourquoi, mais si j'étais nationaliste peu importe de quelle nationalité et que j'aurais pris la peine de m'inventer un drapeau, j'aurais aussi le soin de veiller a ce qu'il soit toujours beau et repassé et pour le moindre sans déchirure ni de trou de fromage...a moins.. a moins que je ne sois en temps de guerre...alors cela expliquerait l'état des drapeau québécois dans certains  lieux publiques







ici le drapeau sur le toit des centres jeunesse a Joliette ( DPJ)  un torchon lamentable a l'image de la HAUTE FONCTION PUBLIQUE QUÉBÉCOISE!








Verdi et Toscanini remplissaient les ondes en alternance avec des messages de personnalités italo-américaines comme Franc Sinatra implorant les Italiens de ne pas laisser tomber leur beau pays sous la botte communiste. Les efforts du département d'état seront récompensés. Encouragés par leur succès, les Américains ont entrepris de faire de la diplomatie culturelle en grand. Mais ils ne seront pas prêts à le faire ouvertement.
Pour être efficace, croient-ils, cela doit se faire clandestinement. »


Les Américains détiennent-ils aussi entre leurs mains la destinée du soccer nord-américain? Le soccer semble vouloir se montrer encore le bout du nez au Canada et aussi à Montréal. Avec le base-ball montréalais sur son lit de mort, cette fois-ci, le soccer deviendra-t-il un sport majeur? Encore!
Cet extrait de la revue Esquire écrit en 1949 pourrait bien nous éclairer sur l'avenir du soccer nord-américain :


ici la Gaspésie havre de PAIX..la vrai


« Peu importe où nos G .I.'s sont assignés pendant la guerre, que ce soit en Angleterre, en France, en Allemagne, en Italie, en Afrique du Nord, en Chine, aux Indes, en Nouvelle Calédonie, aux Îles Fiji ou en Islande, (il faudrait mettre la liste à jour) ils ont constaté que le soccer était l'unique et véritable sport international. Les promoteurs de soccer en Amérique peuvent espérer que l'exposition des soldats américains pendant la guerre au soccer à travers le monde sera aussi bénéfique pour l'avancement du soccer que l'aura été la guerre civile pour la promotion du base-ball. »
Si cela est vrai, alors il y a de l'espoir pour le soccer nord-américain, puisque si l'on considère le nombre de soldats que l'Amérique du Nord déploie à travers le monde, le jour du retour des soldats dans leur pays d'origine, ils feront du soccer le sport numéro en Amérique du nord !

mardi 9 août 2016

Il calcio nel sangue

Le Soccer Dans Le Sang


stade Faillon Mtl

En 1949, Désiré Defauw, directeur des concerts symphoniques de Montréal, est rentré d’Italie et de Belgique où il a dirigé dix-sept concerts. Lors d’une conférence de presse, il a déclaré être enchanté de son séjour en Italie, où il a constaté les progrès rapides des Italiens dans leur reconstruction :
« L’Italien a un excellent moral et il travaille avec ardeur à la reconstruction de ses villes dévastées par la guerre. Sur le plan artistique et notamment sur le plan musical, l’Italie fait comme à son habitude un travail splendide. »

Pendant son voyage, monsieur Defauw a assisté au baptême des orchestres reconstitués de Naples et de Bologne. En 1949, l’Italie se relevait de la guerre et elle célébrait aussi son troisième anniversaire de la nouvelle république. C’était l’heure de la reconstruction en Italie et celle de la réconciliation à Montréal. En 1948, 10 000 Italiens sont accueillis à Montréal et un an plus tard, ils sont plus de 20 000. Cette année-là également, la communauté italienne récupérera la Maison d’Italie, confisquée lorsque l’Italie entra en guerre aux côtés des Allemands. Un journal francophone rapporte que :
« Les relations avec nos concitoyens d’origine italienne, qui ont joué un rôle dans le développement de la métropole, sont aussi cordiales qu’elles l’étaient avant les jours sombres dont le souvenir est maintenant effacé. »

Pour ajouter à cette réconciliation, une équipe de première division italienne viendra en tournée nord-américaine. Ce projet coïncide avec une époque où le soccer italien vit la plus grande tragédie de son histoire : la disparition du Grand Torino. L’équipe de première division italienne se dirigeait vers un sixième championnat consécutif quand, au mois de mai, de retour du Portugal, l’avion s’est écrasé, tuant tous ses passagers. Quelques mois avant la tragédie, le Grand Torino, avec quatre points d’avance sur l’Inter de Milan au classement de la serie A, avait accepté de faire une tournée nord-américaine.

L’Inter de Milan le remplacera. Le club arrive à New York mercredi, le 6 juillet 1949. Il affronte les sélections locales à New York, au New Jersey et à Philadelphie.
Douze jours plus tard, le matin du 18 juillet, l’équipe arrive en train à la station centrale du CN de Montréal. Les joueurs seront escortés à l’Hôtel de ville pour une brève rencontre avec le maire Camilien Houde, lequel devait aussi donner le coup d’envoi de la partie prévue le soir même entre l’Inter et les joueurs étoiles de Montréal au stade Delorimier. Cependant, par crainte de mauvais temps, la partie sera reportée au lendemain, ce qui ne déplaît pas aux Milanais.

Plusieurs observateurs resteront surpris quand la première équipe du championnat italien, choisit d’élire domicile au Ritz Carlton, l’hôtel le plus prestigieux de la métropole. Un journaliste propose alors que les autres équipes européennes s’établissent dans des hôtels plus modestes, car elles venaient en Amérique pour renflouer leurs coffres, tandis que l’Inter était venu pour une tournée de bonne volonté.

Ce qui est certain, c’est qu’elle était venue avec la volonté de jouer au soccer. L’équipe était composée de grands noms comme Campatelli, qui avait participé à 22 sorties avec la Nationale, Stefano Nyers, champion butteur de la serie A, réputé le plus rapide d’Euro-pe, et l’acrobatique Benin Lorenzi, spécialiste des coups renversés en ciseaux. Les équipes étoiles américaines avaient déjà goûté à la détermination des Milanais.

Dans les trois parties jouées aux États-Unis, l’Inter accorda 3 buts et en marqua 25.
Ok il y avait pas besoin d'en compter autant, mais un besoin de charger un esteem de soi il fallait passer par la.

jeudi 4 août 2016

Le Japon 1-skaters 0


Inutile de signer la pétition...




Le monde du skate est divisé après l’annonce du CIO (Comité International Olympique) de vouloir intégrer le skate comme discipline olympique aux JO 2020. Cette nouvelle a eu l’effet d’une bombe au sein de la communauté des pratiquants de la mythique planche à roulettes.
Le CIO japonais a annoncé sa volonté d’ajouter une discipline aux Jeux olympiques 2020 de Tokyo. Sur la liste surf, escalade, baseball et karaté, figurerait le skate. Le verdict tombera le 4 août 2016, veille de l’ouverture des Jeux olympiques de Rio de Janeiro. En attendant la communauté reste partagée sur la question.




Suite à l’annonce du CIO, une partie de la communauté des skateurs n’hésite pas à exprimer son désaccord au travers d’une pétition qui circule sur la toile, à ce jour elle ne compte pas moins de 6664 signatures (http://www.thepetitionsite.com/fr-fr/takeaction/656/763/888/).
Cette pétition a pour but de pousser le CIO à laisser tomber sa volonté de reconnaitre le skate comme nouvelle discipline olympique, en revendiquant la liberté d’un art et non d’un sport qui deviendrait un outil de marketing qui viendrait tuer l’âme d’une discipline marginale. Les porte-parole de cette pétition insistent sur le fait que le skateur n’a rien d’un athlète olympique, il n’a pas d’entraineur, de formateur avec un planning drastique à suivre ; aux antipodes, le skateur est un artiste qui est l’auteur d’une activité créatrice individuelle sans volonté de concourir contre d’autre pays, la culture du skate n’ayant pas de frontière. Le skateur préfère les contests informels qui s’enracinent dans l’identité street et rebelle de la discipline et qui ont pour objectif de partager, de se faire plaisir, de repousser ses propres limites et non celles dictées par une commission olympique.
Pour d’autres comme la légende Tony Hawk, cette nouvelle est accueillie comme un tremplin pour démocratiser la discipline « c’est excitant que le skate puisse peut-être être inclus dans le programme olympique. C’est non seulement une superbe opportunité pour notre sport et les skaters, mais aussi pour les Jeux » déclare le skater. Une opportunité qui pourrait favoriser son développement, quand on sait qu’aujourd’hui en France il n’existe pas de fédération de skate mais seulement une commission dépendante de la fédération française de roller.
En attendant la décision du CIO, prenez vos planches et faites vous plaisir c’est tout ce qui compte après tout !