lundi 25 avril 2016

Les jeux des forces de l'ordre


Il manque seulement l'armée Italienne autrement toutes les forces de l'ordre sont au rendez-vous
pour Roma-Napoli




C'est a se demander se ces cavaliers, arrogants particulièrement avec les chevaux bruns(il paraît qu'ils sont d'une lignée plus noble, je n'ai pas compris si ce sont les bêtes ou les cavaliers)

c'est a se demander si ils ne sont pas la pour voler la vedette aux artistes du ballon rond.














En attendant les Ultras...






jeudi 21 avril 2016

Le soccer dans le sang

Le Soccer Dans Le Sang
En 1949, Désiré Defauw, directeur des concerts symphoniques de Montréal, est rentré d’Italie et de Belgique où il a dirigé dix-sept concerts. Lors d’une conférence de presse, il a déclaré être enchanté de son séjour en Italie, où il a constaté les progrès rapides des Italiens dans leur reconstruction :
« L’Italien a un excellent moral et il travaille avec ardeur à la reconstruction de ses villes dévastées par la guerre. Sur le plan artistique et notamment sur le plan musical, l’Italie fait comme à son habitude un travail splendide. »
Pendant son voyage, monsieur Defauw a assisté au baptême des orchestres reconstitués de Naples et de Bologne. En 1949, l’Italie se relevait de la guerre et elle célébrait aussi son troisième anniversaire de la nouvelle république. C’était l’heure de la reconstruction en Italie et celle de la réconciliation à Montréal. En 1948, 10 000 Italiens sont accueillis à Montréal et un an plus tard, ils sont plus de 20 000. Cette année-là également, la communauté italienne récupérera la Maison d’Italie, confisquée lorsque l’Italie entra en guerre aux côtés des Allemands. Un journal francophone rapporte que :
« Les relations avec nos concitoyens d’origine italienne, qui ont joué un rôle dans le développement de la métropole, sont aussi cordiales qu’elles l’étaient avant les jours sombres dont le souvenir est maintenant effacé. »
Pour ajouter à cette réconciliation, une équipe de première division italienne viendra en tournée nord-américaine. Ce projet coïncide avec une époque où le soccer italien vit la plus grande tragédie de son histoire : la disparition du Grand Torino. L’équipe de première division italienne se dirigeait vers un sixième championnat consécutif quand, au mois de mai, de retour du Portugal, l’avion s’est écrasé, tuant tous ses passagers. Quelques mois avant la tragédie, le Grand Torino, avec quatre points d’avance sur l’Inter de Milan au classement de la serie A, avait accepté de faire une tournée nord-américaine.
L’Inter de Milan le remplacera. Le club arrive à New York mercredi, le 6 juillet 1949. Il affronte les sélections locales à New York, au New Jersey et à Philadelphie.
Douze jours plus tard, le matin du 18 juillet, l’équipe arrive en train à la station centrale du CN de Montréal. Les joueurs seront escortés à l’Hôtel de ville pour une brève rencontre avec le maire Camilien Houde, lequel devait aussi donner le coup d’envoi de la partie prévue le soir même entre l’Inter et les joueurs étoiles de Montréal au stade Delorimier. Cependant, par crainte de mauvais temps, la partie sera reportée au lendemain, ce qui ne déplaît pas aux Milanais.
Plusieurs observateurs resteront surpris quand la première équipe du championnat italien, choisit d’élire domicile au Ritz Carlton, l’hôtel le plus prestigieux de la métropole. Un journaliste propose alors que les autres équipes européennes s’établissent dans des hôtels plus modestes, car elles venaient en Amérique pour renflouer leurs coffres, tandis que l’Inter était venu pour une tournée de bonne volonté.
Ce qui est certain, c’est qu’elle était venue avec la volonté de jouer au soccer. L’équipe était composée de grands noms comme Campatelli, qui avait participé à 22 sorties avec la Nationale, Stefano Nyers, champion butteur de la serie A, réputé le plus rapide d’Euro-pe, et l’acrobatique Benin Lorenzi, spécialiste des coups renversés en ciseaux. Les équipes étoiles américaines avaient déjà goûté à la détermination des Milanais. Dans les trois parties jouées aux États-Unis, l’Inter accorda 3 buts et en marqua 25.
Un journaliste montréalais :
« Ces Européens sont venus pour vaincre. Leur entraîneur britannique leur a enseigné le jeu de base et la tactique, mais c’est leur tempérament latin qui leur donne des ailes. Impossible de les freiner, ils attaquent à 3 ou 4 à la fois, circulent le ballon de style anglais, se font des passes courtes comme les Écossais, et leur jeu préféré est de porter le ballon près de la surface de réparation et de faire une passe à un homme libre. »
Le Jour de la rencontre, le stade de base-ball Delorimier sera transformé en terrain de soccer pour accueillir les 6 000 spectateurs qui viendront encourager les touristes. À peine 20 secondes d’é-coulées dans la partie, Doug McMahon surprend tout le monde, y compris le gardien Franzosi, en marquant le premier but pour les étoiles montréalaises. Les tifosi, en majorité, ont dû attendre à la 27e minute pour voir Bearzot compter le premier but milanais. À la fin de la demie, l’Inter avait seulement un avantage de deux buts. Les étoiles montréalaises, sans jamais espérer emporter la rencontre, souhaitaient tout au moins sauver l’honneur en donnant une meilleure prestation que ne l’avaient fait les étoiles américaines. L’objectif semblait déjà à moitié atteint avec un but de Willie Gammon à la dixième minute de la seconde moitié, portant le score à 2-3.
Mais ce but montréalais suffit pour réveiller les Italiens. Amadeo Amadei, qui avait déjà marqué, ajouta un but à la 14e et un autre à la 16e.
Doug Campbell, du Montreal Star :
« En l’espace de 14 minutes, ils ont marqué 6 buts. Avec Amadeo, Campatelli, Nyers, Bearzot, Armano et Lorenzi, forment une ligne atomique qui aurait pu battre n’importe quelle équipe anglaise de première division. »
Campatelli enfile alors 3 autres buts aux 19e, 22e et 25e minutes, portant le résultat final à 9-3. Les journalistes montréalais n’auront que des paroles d’adulation pour l’Inter et s’attarderont sur la victoire sportive sur le terrain.
Pourtant, la valeur de la victoire sportive représente peu comparativement à ce que la tournée nord-américaine de l’Inter fera pour la promotion du soccer italo-américain. Plus qu’une tournée de bonne volonté, celle de l’Inter donnera le coup de pouce nécessaire pour faire naître le soccer italien à Montréal et dans plusieurs autres grandes villes nord-américaines.
Quand les promoteurs de soccer fêtaient l’inauguration du stade Faillon en 1959, ils célébraient aussi en quelque sorte la prise en main du soccer par les communautés ethniques de Montréal. Parmi les communautés montréalaises, la communauté italienne, ayant elle aussi le soccer dans le sang, ne se contentera pas d’un rôle secondaire.


Claude Duceppe homme de soccer en 1976

vendredi 1 avril 2016

Les filles on dit: Crache le Cash!

 Les filles sortent les griffes! Pour cause. Les fédérations exploitent tout ce qui bouge.
Tel un rouleau compresseur pour faire entrer le cash, augmenter le membership, se payer la vie de pacha, de la FIFA vers le bas....c'est le temps que l'on arrête d'augmenter les frais pour avoir droit a la pratique du soccer avec des entraîneurs( et bénévoles) COMPÉTENTS!

Le bilan financier de la fédération québécoise parle tout seul, sur les 6 et quelques millions de dollars TAXÉ sur tous les petits et grands joueurs de la province: presque 50% va pour les ronds de cuir comme dirait notre Gilles Proulx. Quelle honte! Quel gaspillage!



La fédération se vante de son succès en membres: j'aimerais voir combien est investi pour les salaires des joueuses et des joueurs de soccer élite! Et combien est investi pour la formation d'entraîneurs BÉNÉVOLES!



Cinq joueuses américaines, membres de l'équipe nationale, attaquent la Fédération de football (USSoccer) de leur pays devant la justice civile pour discrimination salariale, dénonçant l'écart de traitements avec leurs collègues hommes, ont-elles annoncé jeudi sur la chaîne NBC.

«Nous avons prouvé ce que nous valions au fil des années, a commenté Carli Lloyd, milieu de terrain élue meilleure joueuse de la Coupe du monde 2015. Nous sortons d'une victoire en Coupe du monde et l'écart salarial entre hommes et femmes est simplement trop important




POUR UN droit d'accès aux savoirs pour tous( les bénévoles) et pour une transmission des savoirs a faible coût! 

La compétence ne devrait pas être assurée pour les équipes a double et triple lettres, c'est simple jouer au soccer- et cela ne prend pas la tête a Papineau pour transmettre les bonnes connaissances et ce a très peu de frais.

Je vous rappelle que la fédération québécoise jouit d'un statut plus luxueux qu'un bureau de ministre. Avec des party's de fin d'année exubérants et couteux.

Ils chargent des sommes astronomiques pour aspirer de l'argent des régions pour une supposée FORMATION...

Bravo les filles. C'est le temps de commencer la repartition du cash!

Fini les gros salaires des administrateurs, fini les voyages et les party a 50mil par année.


Voici comment la fédération du Québec profite des filles, de leur propre rapport annuel!


2015…année du soccer féminin au Québec
La direction générale de la Fédération de soccer du Québec a décidé de profiter du passage de la Coupe du monde féminine
de la FIFA sur notre territoire pour consacrer la prochaine année au soccer féminin déclarant celle-ci « 2015…l’année du
soccer féminin au Québec ». Ainsi, tout au long de la prochaine année, une multitude d’activités seront organisées pour
sa clientèle féminine tant par la FSQ que par les différentes associations régionales de soccer et les clubs de la province.
D’ailleurs, il est déjà annoncé que les efforts déployés par les ARS seraient notés pour l’attribution du titre d’Association
régionale de l’année lors du Gala de la Mi-Temps
En tant que maître d’oeuvre de ce projet, la Fédération de soccer du Québec sera très active et désire donner le ton aux
festivités.
L’année fiscale 2014-2015 a aussi littéralement connu un « boom » au niveau des communications. Une explosion au
niveau des visiteurs tant sur ses plateformes web que sur les réseaux sociaux développés au cours des derniers mois.
Le site web de notre Fédération, très dynamique et à la fine pointe de la technologie, a reçu plus de 1 500 000 de visites au
cours de la dernière année, alors que celui de la Première ligue de soccer du Québec a été visité 66 373 fois.
Notre Fédération a pris, au cours de la dernière année, un virage majeur vers les réseaux sociaux, plus particulièrement
grâce à la création de pages « Facebook », comptes « twitter », « You Tube » et « Instagram » :
- Nos pages « Facebook » deviennent très populaires. Celle de la Fédération compte maintenant plus de 4 410
amis, celle de la Première ligue de soccer du Québec en compte plus de 1 006, celle de la PLFQ 1 133, et celle de
Capitaine Soccer 263. Selon les rapports hebdomadaires produits par Facebook, nos publications sont visitées à
une fréquence variant de 12 000 à 25 000/semaine pour un total annuel de plus de 2 600 000 visites.
- Nos quatre comptes «Twitter » ont aussi été très actifs! Celui de la Fédération compte plus de 1 500 abonnés
celui de la PLSQ en compte plus de 600, celui de la PLFQ près de 250 et celui de Capitaine Soccer compte
plus de 700 abonnés.
- Nos comptes « YouTube » ont été visionnés à près de 50 000 reprises, plus de 35 000 visionnements sur celui de
la PLSQ alors que le compte FSQ a été visité près de 13 000 fois.
Notre webzine OJEU! a été publié en juin 2014, septembre 2014, décembre 2014 et mars 2015. Celui-ci a pris beaucoup
de maturité et est devenu un incontournable auprès de nombreux membres. Soulignons la belle collaboration de nos
associations régionales et clubs dans le cadre des chroniques qui leur sont réservées.
Nos deux outils de formation « Apprendre à parler soccer »,un recueil des différents termes utilisés dans notre sport et
d’explications tactiques et techniques et « Guide des relations avec les médias » conçu spécialement pour les responsables
de communications de nos ARS et clubs ont reçu un très bel accueil tant de la part des représentants des médias qui en
ont reçu copie avant la Coupe du Monde de la FIFA / Brésil 2014 que de la part des responsables des communications des
ARS et clubs.